Inceste et cours de sexe (12) - Histoires de Sexe

Inceste et cours de sexe (12)

... que Miléna s’occupe de prendre la vidéo ? J’ai vraiment envie de goûter à ton vagin ! Rentrer dans l’endroit duquel je suis sorti il y a 20 ans, c’est super bandant ! proposai-je.

Miléna acquiesça :

— Je suis d’accord avec Raphaël. Je viens juste de me faire défoncer par les deux trous, à ton tour de prendre du plaisir, Maman !

— D’accord, faisons comme ça !

Nous montâmes tous à l’étage dans la chambre parentale et pendant que ma sœur se positionnait avec son téléphone, nous entreprîmes de nous déshabiller rapidement. Quelques secondes plus tard, nous étions en place. Maman et Lucie étaient allongées à plat ventre sur le lit. Dans cette position, leurs culs étaient encore plus beaux et bombés que d’habitude. Les voir ainsi si désirables, si vulnérables me fit bander encore plus.

— Tenez-vous la main, les filles, ça sera parfait comme ça ! ordonna Miléna.

Ma sœur semblait vraiment impliquée dans son rôle de camerawoman/réalisatrice. Elle ne laissait rien au hasard. Une éternité me parut s’être écoulée avant qu’elle ne dise finalement la phrase iconique : "Ça tourne eeeeeet... Action !"

Je ne me fis pas prier et me jetai bestialement sur le corps sublime de ma génitrice. Je positionnai ma verge à l’entrée de sa chatte et poussai d’un coup. Elle pénétra comme dans du beurre tant il y avait de mouille. Le vagin maternel était très différent de celui de Miléna ou de Lucie. Même s’il était autrement plus lâche, il était tout de même très serré pour une femme ...

... ayant accouché de jumeaux et il dégageait une sensation d’expérience et de chaleur. Tandis qu’à côté de moi, mon père s’affairait avec Lucie qui criait déjà, je commençai à pilonner profondément ce trou d’amour qui s’offrait pleinement à moi.

Pendant notre copulation, Miléna se déplaçait autour de nous, prenant de gros plans des organes en mouvement, de nos visages extatiques et concentrés. Je la voyais se toucher à travers le tissu de son pantalon tandis qu’elle tenait son téléphone de l’autre main.

Cela devait bien faire cinq minutes que nous baisions quand Lucie jouit bruyamment pour la première fois. Ce stimulus auditif me fit redoubler d’efforts pour contenter ma mère qui miaulait entre ses dents. J’agrippai la chair de son postérieur et m’en servis de point d’accroche pour la pénétrer toujours plus solidement et profondément. La jointure des doigts enlacés des deux femmes était blanche comme neige ; elles devaient serrer très fort. Soudain, je sentis les parois vaginales qui entouraient ma bite se contracter. Ma mère ne put s’empêcher de pousser un long râle de plaisir quand elle jouit finalement de toutes ses forces dans des tremblements incontrôlables. Tout son corps semblait être envahi par l’orgasme que je venais de lui procurer. Elle mit une petite minute avant de retrouver le contrôle de son corps.

Alors que mon père nous informe qu’il va bientôt éjaculer, je sens également la jouissance monter en moi. Miléna se replace rapidement face à nous, et, d’un ...