1. Surprise... par Elle(s)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: ff, fbi, couple, extracon, inconnu, amour, hsoumis, fdomine, sm, attache, BDSM / Fétichisme baillon, tutu, Auteur: Sonpetits, Source: Revebebe

    ... sac, comme momifié dans la housse.
    
    — Comme tu es bien raide, tu aimes ça hein ? Tu te dis que ce n’est pas vraiment une punition, hein ? Au contraire même, tu es à deux doigts de jouir, il suffirait que je te touche, non ?
    
    Ton regard me fait baisser les yeux. Ta tenue, ma situation, tout cela est plus plaisant qu’une punition, en effet.
    
    — Mais qui sait, me dis-tu. Il ne faut peut-être pas grand-chose pour que cela devienne une punition… peut-être que si…
    
    Tu bascules alors le matelas au sol dans le bureau en me regardant avec le sourire. Tu vas dans notre chambre et reviens avec un drap-housse. Tu l’installes puis tu m’aides à m’allonger. Tranquillement, tu repars puis reviens avec une couverture que tu installes sur moi. Tu t’allonges alors à côté de moi et parcours mon torse, mon sexe, avec tes mains. Tu glisses tes doigts sur le sac en prenant soin de ne pas trop appuyer. Je ressens tes caresses plus que je ne les sens. Tu effleures mon sexe, tu caresses mon gland. Et là… tu me dis doucement :
    
    — Tu vois, c’est ta surprise d’être là comme ça, avec moi en jolie maîtresse. Bonne surprise, mon chéri. Quant à moi, j’ai décidé de m’offrir un cadeau… Et ce sera ta punition !
    
    Je te regarde, interpellé. Tu es radieuse, contente de ton effet. Moi, je ne sais plus où on va, tu m’intrigues. Tu te baisses et lèches mon gland à travers le sac, puis tu remontes ta tête le long de mon torse en glissant sur le sac. Tu m’embrasses à travers le bâillon et poses ton nez ...
    ... contre le mien. Sans bouger, tu me dis :
    
    — Regarde-moi.
    
    Je suis là, immobilisé, excité et intrigué, tes yeux dans les miens, ta bouche effleure mon bâillon, tu dis alors, doucement, mais fermement :
    
    — Tu ne te libères pas, c’est moi qui le ferai quand je le voudrai. Tu vas rester dans ton sac aussi longtemps que je le voudrai. Si tu es bien sage, je partagerai mon cadeau avec toi, cela te fera une bien belle punition. D’accord ?
    
    Je fais signe que oui, mais je ne comprends pas bien, je me demande, m’inquiète.
    
    Tu pars alors du bureau en laissant la porte ouverte derrière toi. Je t’entends dans notre chambre. Les bruits laissent penser que tu te changes. Les échanges de sms reprennent. Tu t’installes devant la télé. J’épie tes bruits, tente de deviner ce que tu fais, ce qui m’attend. Puis je pense au repas avec la table et les chandelles. Tu vas me libérer tôt ou tard, car tu ne vas pas manger seule ! Je comprends ton jeu : ce soir, je suis à toi ou alors je passe la nuit ainsi. Quand tu reviendras, je saisirai ma chance, je serai obéissant. Je transpire. Pourquoi m’avoir momifié ainsi pour me libérer pour manger ? À moins que tu ne me fasses manger ainsi ? Je ne sais plus…
    
    L’angoisse de l’attente m’excite, je sue, je bande, mais qu’attends-tu ? Que fais-tu ? Après un temps interminable, alors que tu regardes la télé, on frappe à la porte d’entrée. Aïe ! Perturbation du jeu, comment vas-tu gérer ? Tu entres dans le bureau en criant :
    
    — J’arrive !
    
    Je vois que ...
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