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Sophie s’émancipe. 3
Datte: 23/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... mont de vénus. La mienne attrape la colonne de chair toute poisseuse qui réagit aussitôt. A peine ai-je commencé à le masturber que son gros dard grandit et grossit instantanément, retrouvant toute sa fierté. C’est une vraie machine à jouir cette chose là. Il suffit de demander pour être servie… Sa longueur et son diamètre m’impressionne toujours autant. Pierre est réellement monté comme un étalon ! Il me pousse gentiment pour que je lui tourne le dos. Et glisse son sexe au « garde à vous » entre mes cuisses. Sa main caresse mes fesses. Un doigt passe et repasse entre elles, stoppant sur mon anus avant de plonger dans ma chatte qui dégouline, se vidant sous ses doigts. Une fois le majeur bien poisseux, il remonte vers mes fesses. Je le laisse faire mais me doute un peu de la suite. Son doigt masse doucement mon petit trou. Comme je ne réagis pas, il reprend son travail de lent massage un moment puis me perfore l’anneau qui cède facilement. Je pousse un petit cri d’impatiente mais il n’en a cure et reprend son manège, sortant et perforant à nouveau mon anus. Il revient à ma chatte pour enduire d’autres doigts de nos secrétions puis reprend le travail de préparation. Je ne suis pas une fana de la sodomie mais il sait tellement bien s’y prendre que maintenant je n’attends plus qu’il me prenne par derrière. Il vient de cracher dans mon petit trou, étale sa bave tout autour et immédiatement y introduit l’index et le majeur. Il tourne, il ...
... farfouille au plus profond de mon cul offert. Je pousse des gémissements en écartant mes fesses de mes deux mains. Il a abandonné ma chatte, c’est couché à coté de moi et tire mon corps plus près de lui. Son sexe est prisonnier entre mes fesses. Mon anus est prêt à subir ses assauts. Je prends doucement son défonce-cul et en pousse la tête contre ma rondelle. -Je veux que ton gros mandrin entre tout en douceur. Je pousse mes fesses vers son bas-ventre tenant d’une main ferme sa queue. Lentement, mon sphincter cède à la pression de son gland. L’intromission commence mais le chapeau est si gros qu’il a des difficultés et bute sur le centre de mon cratère. La différence est énorme entre son gland et ma rosace ridée. Je recule encore mon cul vers cette poutre conséquente et pousse plus fort. Mon sphincter cède enfin, absorbant son gland qui reprend sa taille une fois le muscle anal passé. Pierre me tire à lui et glisse avec prudence son bélier en moi. Je sens mon colon se dilater sous la formidable poussée. J’ai peur qu’il me fasse mal mais il est toujours aussi doux, si prévenant, il me demande, stoppant sa pénétration : ¬ — Ca va ? Je ne te fais pas trop mal, tu veux que j’arrête ? ¬ — Non mon amour… mais va doucement… Il prend son temps pour que mon sphincter se dilate. Mon cul s’adapte comme par enchantement. D’un petit coup de reins, je lui fais comprendre qu’il peut continuer à me pénétrer. Doucement, il pousse, sans cesse et sans aucun ...