1. Mûres 50/mère et fille baisées en même temps


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Inceste / Tabou Auteur: langauchat, Source: xHamster

    Je m'apprêtais à pénétrer ma compagne d'alors, plus âgée que moi d'une vingtaine d'années, lorsque des gémissements presque gutturaux nous parvinrent de derrière la paroi.
    
    Valérie, la fille de ma compagne, était en train de jouir sous assauts juvéniles d'un jeune couillu de son âge, c'est-à-dire au seuil de la majorité.
    
    Sur le moment, je n'ai pas trouvé ces bruits très excitants. Je ne pouvais pas dire à ma compagne que les cris de jouissance de sa fille m'excitaient. Cela aurait revenu à dévoiler une pulsion pour cette fille, un fantasme qui, si je l'éprouvais peut-être dans mon inconscient, n'avait jamais inondé mes pensées. J'étais d'ailleurs en conflit permanent avec cette jeune fille, le beau-père n'ayant que le droit que de la fermer.
    
    Nus face à face, nous nous regardions, ma compagne et moi, interrompus dans l'imminence de notre copulation.
    
    Nous étions à la fois amusés et gênés. Gênés pour cette fille fière au caractère bien trempé, qui s'exhibait maintenant sous formes d'ondes sonores impudiques, qui nous indiquaient par la précision du timbre et la longueur des soupirs à quelle vitesse la bite du garçon se fourrait dans son vagin, à quelle profondeur, et après un léger temps de pose, avec quelle vigueur il plongeait dans la rondeur tonique de son fessier, après l'avoir retournée pour une triomphante levrette. Toute la fierté de cette fille trempait maintenant dans la mouille. Les coups de bites paraissaient maintenant plus profonds. Elle devait écarter ...
    ... grand les cuisses, et peut-être maintenir ses jambes en l'air pour se faire ramoner jusqu'à la matrice.
    
    Je me mis à piner ma compagne, qui elle aussi me gratifiait parfois d'une position ouverte, en écartant et relevant les jambes jusqu'à l'obscénité. Le régal n'était pas que pour mes yeux. Ma queue profitait également d'un angle de pénétration plus étranglé, plus inhabituel.
    
    J'adorais le moment où, pour forcer encore l'obscénité de la pose, elle saisissait ses chevilles pour tendre et ouvrir encore plus les jambes, avec une souplesse qui me surprenait chez une femme de cet âge. Cela lui relevait le cul.
    
    Je gardais un moment les mains sur mes hanches, pour lui laisser l'autonomie et la responsabilité de cette pose provocante. Comme si je voulais dire: "Ce n'est pas moi qui te plie dans cette position, c'est vraiment toi qui t'offre, toi qui veut te sentir bien chienne, bien bourrée sous les coups de ma grosse queue".
    
    Ainsi tordue, offerte jusqu'à l'extrême comme dans un numéro de cirque, son vagin replié lui-aussi ne m'accueillait plus avec sa souplesse et sa respiration habituelle. Il suffoquait, passif, comme un simple orifice anguleux mais sans mouvement.
    
    Quand le foutre se mettait à entrer en ébullition dans mes couilles, je le sentais presque freiné suivant la profondeur où se trouvait ma bite au-moment de la giclée. Je contemplais ma propre éjaculation avec curiosité, m'étonnant de la lenteur avec laquelle les sursauts de sperme finissaient par s'échapper ...
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