1. Ma tante et sa fille complotent contre moi (1)


    Datte: 22/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Petronus, Source: Xstory

    Les vacances de Noël sont enfin arrivées ! Comme je les attendais ! Depuis plusieurs années, je ne sais pas vraiment pourquoi, la magie de Noël avait disparu de ma vie, et j’étais réellement attristé de ne plus ressentir toutes ces émotions : l’euphorique impatience du réveillon, la joie de se retrouver en famille, l’excitation à la vue des cadeaux sous le sapin, l’heureuse nostalgie en réécoutant les grands classiques, les nourritures exquises, et j’en passe !
    
    Mais cette année, tout est là, je le sens, dans mon ventre, dans ma tête, Noël circule dans mes veines et mes artères ! Je suis joyeux, sans aucune raison.
    
    Peut-être que tout cela opère de nouveau sur moi car je ne passe pas les fêtes chez moi, comme je l’ai fait depuis 22 ans. Au cours de l’année, mes parents ont divorcé, et comme le climat est très tendu, j’ai décidé de pousser moi aussi mon coup de gueule et de ne pas choisir entre l’un ou l’autre, si bien que cette année, je passe mes deux semaines de vacances chez ma tante.
    
    Ma tante, c’est Jeannine. Elle habite dans le même département, mais à la campagne, ce qui est incroyablement plus agréable, car la neige s’accroche au sol, le ciel est dégagé, les étoiles pigmentent tout le plafond céleste, et la maison est bien plus vivante. Rapide présentation, Jeannine arrive tout juste sur ses 45 ans. C’est une femme indépendante et forte, comptable de formation, jamais mariée, mais avec deux enfants à sa charge, tous deux adoptés. L’un Nicolas, ayant presque mon ...
    ... âge, et la dernière, Jenny (pour Jennifer), qui avait fêté ses 18 ans au début du mois, juste avant que je n’arrive.
    
    Jeannine était une personne que j’admirais beaucoup. Cultivée, intéressée, elle jugeait rarement, ne donnait son opinion que lorsqu’on lui demandait. Elle connaissait sa place et savait y rester. C’était une femme modeste, courageuse, pas tellement un standard de beauté comme on l’entend en 2018. Elle n’était ni grande, ni particulièrement élégante, mais elle avait cet éclat dans les yeux qui faisait invariablement chavirer n’importe qui avait le mérite d’y plonger son regard. Physiquement, elle avait une belle tignasse de cheveux auburn, bouclés, lui tombant sur les épaules. Elle ne mesurait guère plus d’un mètre soixante, et pesait au moins 60 kg. Mais ces kilos étaient répartis harmonieusement. Il était de prime abord difficile de ne pas reluquer sa généreuse poitrine, souvent en train de ballotter sous ses nuisettes ou ses hauts de peu de valeur qu’elle portait à la maison. Les premiers jours, arrivé en milieu de semaine, j’avais pu voir qu’il en était tout à fait autrement avec ses tenues professionnelles. On apercevait à peine l’énormité de cette poitrine, tant elle la maintenait et la dissimulait habillement. Mais ici, dans la chaleur de ce doux foyer, ses seins respiraient allègrement, et plusieurs fois je devais m’efforcer de ne pas m’endormir bercé par ce manège érotique. Du reste, ses fesses et ses jambes étaient souvent dissimulés sous de larges ...
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