1. Mina et Copacabana


    Datte: 22/01/2020, Catégories: Transexuels Auteur: Carpe-_-Diem, Source: xHamster

    ... sens ton cul qui me serre la bite ; je t’ai tout mis dedans ; je suis sur qu’après tu pourrais prendre la grosse queue de Copa ! Mais pas ce soir, je la veux dans mon cul ! Copa, vient me baiser ; je suis ta salope ! mon cul est chaud et ouvert pour toi ; vas-y maintenant ! »
    
    Copa me retira sa queue de la bouche et se mis derrière Mina. Celle-ci avait le cul largement ouvert car Copa lui mis ses vingt-cinq centimètres de viande dedans en quelques instants. Ces coups de queues s’ajoutaient à ceux de Mina et ce fut comme si j’avais deux bites dans le cul. Après un moment, je dis :
    
    « Je sens que je vais tout cracher ; je veux vos queues pleines de foutre maintenant ! »
    
    Mina se retira, en gardant Copa dans son cul. Je me mis sur le dos, face au sexe de Mina. Copa, toujours dans son cul, lui caressait les seins et le branlait au-dessus de ma figure. Je me caressais en disant :
    
    « vas-y, Copa, fait cracher sa queue ; donne-moi tout son foutre ! »
    
    Mina se tenait les couilles et gueula :
    
    « Ahhh, je jouis, je vais tout te cracher sur la gueule, salope ! »
    
    Presque aussitôt, il me balança de longs jets de foutre crémeux et brûlant que je m’étalais sur les seins. Copa, qui ne pouvait plus tenir tant la jouissance de Mina lui avait serré la bite la retira de son cul et se mit au-dessus de moi en se caressant. ...
    ... Je lui mis la main aux couilles pour les serrer en gueulant :
    
    « Vas-y Copa, je sens qu’elles sont pleines ! Vide les bien, je veux tout ! »
    
    Il se branla plus fort. Sa queue était encore plus longue et grosse que tout à l’heure. Je vis son énorme gland s’élargir et là, ce fut l’inondation ! Pendant plus d’une minute, il balança des jets incroyables de sperme. J’en pris plein la figure, les seins, cela n’arrêtait pas ! Je ne pouvais plus tenir ! Au moment ou j’allais jouir, Mina me pris dans sa bouche et me pompa tout le foutre, les yeux pleins d’extase ! Après qu’elle m’eut bien pompé, elle pris le sexe de Copa et en soutira encore quelques lampées qu’elle vint me cracher sur le ventre. J’en avais vraiment partout. Après quelques instants de repos, j’allai dans la salle de bain, m’asseoir sur le bidet et je leur dis :
    
    « venez me laver en me pissant dessus ; j’adore ça ! »
    
    Je n’eus pas à le dire deux fois ; ils se mirent chacun d’un côté et m’arrosèrent de longs jets de pisse chaude et dorée que je recevais dans la bouche et que je recrachais sur les seins, mon ventre et ma queue en me caressant. C’est sur cette inondation que je partis, uniquement vêtu de mon string et de mon imperméable. Sur le trajet du retour, la seule pensée de cette partouze me refis bander et je dus me branler en arrivant chez moi ! 
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