Début sur la même rive...
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
hh,
hbi,
jeunes,
Oral
69,
init,
prememois,
inithh,
Auteur: Lipsway, Source: Revebebe
Je vais entreprendre ici le récit de la phase la plus intense de ma vie, au plan sexuel : mes 20 ans… En ce qui me concerne, je ne laisserai personne dire que c’est le plus mauvais âge de la vie…
Très tôt formé, peut-être parce que je suis à moitié nord-africain, je me masturbais dès l’âge de 10 ans. Je le faisais en lisant des livres que j’empruntais à la bibliothèque municipale. La moindre scène un peu osée suffisait à m’exciter à l’époque. Mais aussi, en baissant tout simplement mon pantalon de pyjama le soir dans mon lit, le contact du drap sur mon sexe suffisait à m’exciter…
Je fantasmais beaucoup sur mes petites camarades. Je passais beaucoup de temps en classe à regarder leurs seins… et à imaginer leurs petites fentes duveteuses…
Pourtant, j’étais vierge en entrant à la fac après le bac, car d’une timidité maladive vis-à-vis des filles. Aussi, le premier corps que j’ai pu approcher a été celui d’un garçon…
Dès le premier cours, d’histoire économique il me semble, je posais mes affaires à côté d’un garçon de mon âge, visiblement aussi perdu que moi dans le grand amphithéâtre.
Kevin était blond, assez fluet et pas encore très mûr, alors que j’étais brun, plutôt grand et faisant plus que mon âge. Très vite nous avons sympathisé et pris l’habitude de nous voir le soir, soit chez moi, dans une chambre que je louais dans un pavillon non loin de l’université, soit chez Kevin, dans sa chambre de la résidence étudiante qui jouxtait le campus.
Kevin ...
... m’invita un jour à rester dormir car il était tard et nous avions discuté jusqu’à plus soif. Ensuite, il ne se passa pas une semaine sans que l’un ne dorme chez l’autre, une nuit ou deux, en tout bien tout honneur… Nous avions pris l’habitude de discuter avant de dormir. En fait, nous discutions pas mal de sexualité et Kevin me demandait de lui lire les passages des livres que j’empruntais qui comportaient desscènes…
En général, il s’agissait de romans classiques, dont j’étais friand, et la plupart des scènes n’évoquaient guère que les seins des femmes, le cœur qui palpite, la poitrine qui se soulève… Mais la simple évocation de tout cela nous excitait au plus haut point…
Un soir, j’ai demandé à Kevin s’il bandait. Il me répondit que oui, qu’il bandait dur ! Je sentais moi aussi ma verge tendue mais je n’osais pas la toucher avant qu’il soit endormi. Kevin me demanda alors si il pouvait voir mon sexe. J’hésitai puis je lui répondis :
— D’accord, mais tu me montres le tien aussi.
— OK.
Nous nous levâmes et j’allumai la veilleuse. La maison était calme, mes proprios étaient de sortie. J’ai aussitôt regardé la bosse que formait la verge dure de Kevin sous son pantalon et cela m’a fait frémir… J’ai donc baissé mon pantalon et ma verge, circoncise et brune, s’est relevée sous les yeux fascinés de Kevin… Il a lui aussi baissé son pantalon… J’ai regardé à mon tour sa verge, rose, presque blanche, avec un gland pas tout à fait sorti du prépuce et de jolies couilles ...