1. Une adolescence tumultueuse


    Datte: 26/03/2018, Catégories: Première fois Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: michelemimi, Source: xHamster

    J’ai toujours été une dévergondée. Mais ça vous l’aviez compris, je pense. Ma mère me disait toujours que trop se tripoter était malsain pour une fille quand elle avait deviné mon appétit sexuel naissant.
    
    A presque treize ans, j’étais déjà une petite salope adepte de jouissance solitaire. Je ne perdais aucune occasion pour laisser traîner mes doigts dans ma culotte. Un jour, je me fis surprendre par le patron d'un haras en train de me caresser, en regardant la saillie d’un étalon sur une jument.
    
    « Sale petite vicieuse ! Ca t'excite de voir une saillie ? J'vais t'faire passer cette envie moi ! Viens par là ! »
    
    Il me prit par le bras et me traînât dans une écurie. Il m'attachât à un boxe et me floutât à poil. Je me débattais et criais mais rien n'y fit. Il prit un fouet de dressage et me dit :
    
    « Puisque ta mère n'a pas su te dresse petite salope, moi j'vais le faire ! »
    
    J'étais horrifiée et il se mit à me fouetter.Je me tortillais sous les coups qui audébut frappait mon ventre et mes cuisses.
    
    Ce monstre, en me voyant me tortiller comme une malheureuse, s'en pris rapidement à des endroit plus sensibles en me fouettant sur les seins.
    
    Je le suppliais :
    
    « Arrrrêtezzzzz !!!! J'ai compris la leçon !!!! Je ne le ferais plus ! »
    
    Il me rétorquât alors :
    
    « C'est sûr ! Car maintenant j'vais te montrer le loup et si tu en parle à ta mère la punition sera exemplaire ! »
    
    Sur ces mots, il sortit son mandrin et m'enfilât sans plus de procès. La pénétration fût ...
    ... douloureuse d'autant que j'étais vierge.
    
    Il avait jouit sur moi et en me donnant une claque violente sur les fesses il m'avait congédiée :
    
    « La prochaine foi, j'encule et j'te fais baiser par mes palfreniers ! File petite putain ! »
    
    Le minou démoli par ce premier assaut, je demandais pas mon reste et filais tout en me rhabillant. En me voyant revenir avec une grise mine, ma mère me dit :
    
    « Hé bien, hé bien ! Te voilà bien tristounette ? »
    
    Rougissante de honte, j'avouais à ma mère tout en pleurnichant :
    
    « J’ai seulement voulu me caresser un peu en regardant une saillie. Mais le propriétaire m’a vue, m’a engueulée et m'a fouetté pour me punir. »
    
    Je me gardais bien de dire à ma mère qu'il avait aussi abusé de moi et m'avait dépucelé. Elle me regardât en soupirant :
    
    « Mais que vais-je faire de toi ? Il a eu bien raison de te corriger ! Monte dans ta chambre ! J'arrive ! »
    
    Quand elle arrivât dans ma chambre et me déshabillât, elle comprit l'empleur de la correction.
    
    « Et bien ma pauvre chèrie, il n'y est pas allé de main maorte. Mais tu le méritais. »
    
    Tout en me parlant, elle me passait un baume apaisant sur les traces de morsure du fouet et ses doigts s’aventurèrent sur mon clito et mes seins et ma rosette, me faisant instantanément réagir mon corps.
    
    J’aimais la manière dont elle me caressait et je me mit à jouir quand elle me fit minette. Elle me dit :
    
    « Tu ne parlera de rien à ton pére. C'est notre petit secret. »
    
    Pour l’assurer de mon ...
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