1. La dame à la robe rouge


    Datte: 22/01/2020, Catégories: fh, hagé, inconnu, campagne, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, massage, Humour québec, Auteur: J. Vincent, Source: Revebebe

    ... côté du chemin pour s’assurer qu’elle pouvait traverser la route sans risquer de se faire réduire en bouillie pour les chats.
    
    Elle releva la tête pour me regarder à nouveau et prit un air décidé puis traversa la route pour venir cogner à ma porte. Je lui ouvris et elle me demanda d’une voix un peu timide :
    
    — Le monsieur qui demeure avec vous est-il ici ?
    — Non, il ne vient que rarement ici, actuellement, il est non loin de Manic 2, dans un chalet appartenant à un de ses amis.
    — Ah bon ! Quand il reviendra, voulez-vous lui…
    
    Je l’interrompis en lui disant simplement :
    
    — Eh bien, jeune personne – elle pouvait avoir quarante-cinq ans, au plus – entrez donc. Je prépare le café et je vais prendre vos coordonnées afin de les lui remettre. Mais, entrez donc, venez au salon, je vous amène un café… Un sucre ? Deux ? Je n’ai pas de mémoire et je vais prendre vos coordonnées pour lui donner, sinon, il ne saura jamais le but de votre visite.
    
    Sans attendre sa réponse, je filai à la cuisine, non sans lui avoir indiqué un fauteuil où s’asseoir. Elle enleva ses souliers et se dirigea vers le fauteuil sans dire un mot.
    
    Lorsque je revins au salon avec les deux cafés, elle s’était allumé une cigarette, si bien que je retournai chercher un cendrier pour nous accommoder tous les deux, car je fumais moi-aussi.
    
    Avant de prendre place sur le divan juste à côté de son fauteuil, elle accepta de prendre un café en ajoutant tout simplement :
    
    — C’est votre oncle, je crois, qui ...
    ... habite avec vous. Je le vois parfois au restaurant, au bout du village, et je serais intéressée à sortir avec lui. Je suis divorcée depuis un peu plus d’un an et je me sens seule. Il est temps que je me refasse un groupe d’amis, sinon je vais craquer. Je m’ennuie à en mourir dans ma petite maison-mobile.
    
    Je n’osais lui répondre que mon oncle était en quelque sorte allergique à la gent féminine, sans être homo pour autant. Il était du genre : le rôle de la femme, c’est de rester à la maison et de torcher les petits. Aussi, je la plaignis si jamais il lui arrivait de vouloir partager sa vie avec lui.
    
    Du coin de l’œil, je remarquai que sa robe s’était relevée sensiblement et je lui trouvai des cuisses ravissantes. J’étais habillé d’une simple chemise et d’un short d’exercice assez court. Je commençai à avoir une érection incontrôlable. Une jolie poitrine, en plus, et une voix douce à souhait. J’eus presque honte de moi quand je regardai sa bouche et me surpris à penser que ma queue irait à merveille dans sa petite bouche. Il semblait que le tissu de cette robe était très glissant et, assise ainsi, au moindre mouvement, sa robe remontait avec tant d’impudeur que c’en était comique. Alors que debout sa robe ne laissait apparaître que les genoux, voilà qu’elle lui allait à mi-cuisse maintenant.
    
    Sans doute qu’elle me vit regarder ses cuisses à demi-dénudées, car elle tira doucement sur le bas de sa robe afin de la rabaisser. Je lui souris devant son geste pourtant tout à fait ...
«1234...7»