Dérapages.
Datte: 21/01/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... tomber enceinte!
- Trop tard, ça vient!
Je grogne quand j'éjacule, quand j'explose dans son corps. Un véritable geyser de foutre, je ne me rappelle pas avoir cracher autant de sperme, avoir jouit aussi puissamment. Il y en a tellement que ma semence déborde du vagin de Manon, m'inondant les couilles, le ventre. Mais je jouis encore, en grognant, en criant d'extase. Putain ce que cette chienne est bonne. Comme un goujat, je m'affale sur elle, mes couilles enfin vidées. Ma joue contre la sienne. Manon, sanglote, je sens son corps merveilleux secoué de spasme, je suis encore dans son corps. Je reste ainsi quelques minutes, avant de me retirer. Je me met sur le dos, mon corps contre celui de ma belle-fille. Manon se recule un peu, sanglotant. Elle se met en boule, descend sa jupe, remet tant bien que mal, les restes de son haut. Je la regarde. Je vois mon sperme, rosé par son sang de pucelle, s'écouler de son vagin, lui inonder ses cuisses bleuis par mon viol. Cette vision me fais rebander. Je vois bien son corps trembler, il m'appelle, me veut encore. Je me branle un peu, il faut que je sois bien dur pour honorer de nouveau la demoiselle, comme elle le souhaite.
Je l'entends pleurer. Je me mets sur le côté, je me redresse en m'appuyant sur un bras. Je pose ma main sur l'épaule de ma belle-fille. Manon pousse un petit geignement de peur, elle sursaute. Je lui fais peur, je ne comprends pourquoi, surtout que je viens de lui donner du plaisir.
- Pourquoi... Pourquoi ...
... tu m'as fais ça?
- J'avais envie...
- Tu es un monstre! Tu m'as violée!
La conne elle est encore dans son jeu. Manon a encore envie de moi. Je la prend par l'épaule, la met sur le dos. Son splendide visage est encore plus beau ainsi ravagé par les larmes. Elle n'ose pas me regarder. Ça me fais encore plus bander, déjà que je bande vraiment dur. Elle gémit de terreur quand je lui écarte les cuisses de mon genoux, que je me glisse entre ses jambes.
- Pas encore, pitié, pas encore... Pour toutes réponses, je rabats de nouveau ses bras au-dessus de sa tête, les tenant par les poignets d'une main. La pauvresse, n'a ni la force de se débattre, ni celle de me résister. Je remonte de nouveau sa jupe, j'arrache son haut, que je jette un peu plus loin.
- Léo... Je t'en supplie...
La putain, elle murmure plus qu'elle ne parle, sûrement son envie de moi qui est trop forte pour qu'elle puisse parler. Les larmes de ma belle-fille redoublent. Je presse de nouveau mon gland contre sa vulve. Cette fois elle est bien lubrifiée par mon sperme et son sang de pucelle. Je pénètre facilement en elle. Manon crie lors de la pénétration, avant de geindre de douleur quand je suis de nouveau totalement en elle. Je l'ai traumatisée, tuée en la violant, en la dépucelant de cette façon. Elle n'a plus la force de supplier. Alors, la néo-dépucelée se laisse faire, me laisse faire ce que je veux de son corps. Elle est toujours aussi serrée, qu'elle est bonne, je pense que je vais la baiser ...