1. Dérapages.


    Datte: 21/01/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... spasmes de plaisir. Elle ouvre des yeux horrifiés, elle vient de comprendre ce qu'il vient de se passer. Elle pleure de plus belle.
    
    - Mon dieu, j'ai encore jouit, c'est horrible, horrible...
    
    Moi je n'ai pas jouis. Alors je la plaque contre moi, c'est moi qui me met à aller-et-venir dans son corps. Je lui donne des coups de boutoirs de plus en plus puissant, lui arrachant de nouveau petit cri de plaisir. Quand mon sperme jaillit en elle, électrisant son antre d'amour, Manon cri de nouveau, un nouvel orgasme lui ravageant le corps. Si l'effet de sa jouissance est bénéfique pour son corps, il est désastreux pour sa psyché. Elle l'impression de n'être plus qu'un sexe que l'on prend quand on le veut. Un sexe qui prend du plaisir à se faire violer. Elle ne sait pas que cette réaction, si elle n'est pas courante, n'est pas rare non plus. Je reste en elle, tandis que une nouvelle fois, le corps de Manon est secoué de spasme, mais cette fois autant de plaisir que de douleur.
    
    On reste ainsi, empalé l'un dans l'autre, pendant de longues minutes. Sa tête sur mon torse, Manon sanglote, tandis que je lui caresse le dos.
    
    - Pourquoi tu pleures?
    
    - Tu me violes, je jouis. Je suis une putain, une chienne.
    
    - Si tu le dis, pourtant tu as l'air d'aimer ce que je te fais.
    
    - Non, je déteste. Tu me viole, tu profanes mon corps.
    
    - Alors pourquoi tu m'obéis sans résister?
    
    - Je ne sais pas, je n'y arrive pas. J'ai trop peur de ce que tu peux me faire.
    
    - Tu as raison, ...
    ... crois-moi, tu as vraiment raison.
    
    Je me retire doucement du corps de ma belle-fille. Je sens mon sperme couler sur ma cuisse.
    
    - Il va falloir nettoyer.
    
    - D'accord.
    
    Manon s'agenouille sur le lit. Elle nettoie le sperme qui a coulé sur ma cuisse, puis celui sur les drap. Pour finir elle nettoie ma bite. Décidément cette chienne a des atouts que je n'imaginais pas.
    
    Elle s'allonge sur le lit, couchée sur le ventre. Elle croise les bras, pose son visage dessus. Elle sanglote doucement.
    
    - Tu pleures encore?
    
    - Oui, pourquoi tu me fais ça?
    
    - Parce que je peux.
    
    - Salaud, tu es un monstre...
    
    - Pourtant tu as jouis trois fois!
    
    - Mon corps, pas moi.
    
    - C'est pareil.
    
    - Non, si j'avais le courage, je te tuerais pour tout ce que tu m'as fais!
    
    - Oui, mais tu ne l'as pas. Alors demoiselle, fais attention à tes menaces, je pourrais te punir méchamment juste par prévention.
    
    Manon sur qui personne n'avait levé la main avant que je ne le fasse panique à mes mots.
    
    - Pardon, fais-moi ce que tu veux, mais ne me frappe plus. Viole-moi autant que tu veux, mais plus de coups, je t'en supplie, plus de coups. Je serais ta putain, ta chienne...
    
    Je souris à sa panique.
    
    - D'accord, mais tu as intérêt à être bien obéissante.
    
    - Je le serais, promis.
    
    - Bien, on verra après. En attendant, on dors.
    
    Je la détache, lui enlève ses menottes. Je me suis endormi, une main sur les fesses de ma belle-fille, l'entendant sangloter. Si on nous avais vu, on auraient ...