1. Dérapages.


    Datte: 21/01/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... vendre alors.
    
    - Yes, j'en ai des tonnes, il me les fournis pour mes clients. C'est bon pour le commerce, si il baisent plus, ils paient plus.
    
    - J'avais pas vu les choses comme cela. C'est OK, je t'en prends.
    
    - OK, je reviens.
    
    Radiu est allé dans son arrière boutique. Il revient avec un gros sachet plastique. Il me le tends.
    
    - Tiens, il y a mille pilules dedans.
    
    - Mille! Mais je ne sais pas si j'ai assez.
    
    - Bien sûr que si. Pour toi c'est gratos, tu m'as tellement aidé dans le temps, je te renvois l'ascenseur. La bière aussi c'est pour moi.
    
    - Merci Radiu, je te revaudrais ça!
    
    - Je n'en doute pas, puis quand tu n'en as plus, reviens, ce sera toujours gratuit pour toi.
    
    Radiu mets le sac de pilule dans un sac frais de grande surface. Je sors. Je me dirige vers un sex-shop situé plus haut, il est spécialisé SM. Il est ouvert vingt-quatre heures sur vingt-quatre. J'entre, il va me falloir pas mal de matos. J'en ai pour près de deux mille euros. Mais je dois dire que j'ai de quoi m'éclater. Pince à tétons, pince à clito, menottes, fouet, cravache, martinet, aiguilles. Menottes, bâillon, écarteurs buccales, muselière. Sans oublier des godes de plus tailles, dont le plus gros est moulé sur un bras humain, un de belle taille envoi des décharges, et un autre laisse surgir de multiples petites aiguilles quand on appui sur un bouton. J'ai même pris un gode ceinture au cas où... Rien qui blesse gravement, mais de quoi tirer le maximum de douleurs. Je n'ai ...
    ... que trois semaines pour dresser Manon. Il faut qu'elle soit mon esclave pour le retour de ma fille. Avant de rentrer, j'achète cinq cartouches de clopes. Je fume un peu, ça m'évitera de sortir de chez moi pour en acheter.
    
    Le VTC m'attend sagement. On rentre rapidement, je le paie en le payant grassement. Je lui demande son numéro perso, je déteste conduire alors autant avoir un chauffeur. Quand j'ouvre doucement la porte de chez moi, je me rends compte que je ne suis partis qu'une petite heure. Je pose mes achats dans le couloir, je me déshabille entièrement, je bande comme un fou, il va falloir que je me soulage avec ma douce Manon. Je m'approche lentement du salon. Je me rends compte que je prie dieu pour que ma belle-fille dorme encore. Je souris, c'est plutôt le diable que je devrais prier. Quand j'entre dans la pièce, je m'aperçois que mes vœux ont été exaucer. Tout d'abord, Manon dort encore, mais elle c'est un peu détendu. Ses fesses sont tendues par rapport à son corps, me rendant l'accès à sa chatte beaucoup plus facile que dans la position fœtale. Je me glisse doucement contre elle, prenant bien garde de ne pas la réveiller. Mon corps ne la touche pas. Je suis appuyé sur un bras, ayant une belle vue sur son visage merveilleux. De l'autre main je guide mon pieu contre l'entrée de sa grotte d'amour. Elle grommelle un peu, mais ne bouge pas. Je vais lui offrir le plus beau des réveils. Mieux qu'un radio-réveil, la bite-réveil.
    
    Mon gland frôle à peine les lèvres, ...
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