Un petit boulot de chantier (1) - Histoires de Sexe

Un petit boulot de chantier (1)

... ou tout à l’heure je ne veux pas t’entendre connard ». Le téléphone raccrochait aussitôt.

Franck n’hésitait pas une seconde. Se faire posséder de la sorte, le mettait dans un état d’excitation incroyable. Il prenait les premiers habits qui lui tombaient sous la main, dans la précipitation il oubliait même de mettre des chaussettes.

A peine deux minutes après que l’ouvrier mit fin à la conversation, il était devant le portail de la maison. Il avait d’ailleurs donné sans réfléchir l’adresse de ses parents sans penser à aucun moment que cela pouvait avoir des conséquences.

Au bout de quelques minutes la camionnette arrivait, se garant en face de Franck. Ce dernier ouvrit la porte latérale arrière, et rentra en prenant soin de fermer derrière lui. A peine la porte refermée il entendait, de la même voix ferme qui lui avait parlé plus tôt au téléphone, « A poil » !

Dès que Franck se retrouvait nu à l’arrière de la fourgonnette, l’ouvrier qui était à l’avant passa à l’arrière de la camionnette. Il était un petit plus grand que Franck, plus large et surtout avec habits de chantier très sale.

Il passait derrière Franck lui appuyait sur la tête pour qu’il se baisse en avant, il mit quelques claques sur son cul, il avait vérifié sa marchandise. Il avait fait mettre Franck à genoux, avait sorti sa queue qu’il avait fourrée sans ménagement dans la bouche de Franck.

« Putain quel pied de pouvoir se faire vider les couilles et nettoyer la queue après une bonne journée de ...

... travail par une pute gratuite ». Seuls les bruits de salive et de bouche provoqués par les va-et-vient de la queue de l’ouvrier accompagnaient ses paroles. Franck lui écoutait mais surtout, prenait son pied avec cette large et longue queue qui lui baisait la bouche.

« Très bien je vois que t’es une vraie salope c’est très bien. Du coup c’est simple il est seize heures, donc tu auras largement le temps d’aller faire des emplettes. Tu vas aller t’acheter des talons hauts, pas compensés ou petits, non des jolis talons aiguilles de pute, avec porte-jarretelle, string, mini-jupe, débardeur et perruque. Tu seras évidemment maquillée. T’en profiteras pour prendre des capotes et pas un paquet mais au moins une dizaine de paquets parce que tu vas te prendre un sacré paquet de queues sale pute. Tu seras dans cette tenue demain matin à quatre heures sur le chantier. La cabane sera ouverte tu auras tout le nécessaires pour la nettoyer. Tu en profiteras pour nettoyer les douches, les chiottes et les outils qu’on t’aura laissés par terre. Et à six heures du matin quand on arrive tu auras fini de tout nettoyer et tu commenceras ta journée de pute. On est bien d’accord pédale ? Tu clignes des yeux une fois pour dire oui, ou deux fois si t’es vraiment une merde et que tu refuses ».

Comme l’ouvrier s’y attendait Franck n’avait cligné des yeux qu’une seule fois. Il passait alors un coup de fil, tout en continuant de fourrer sa queue dans la bouche de son nouveau jouet.

— Oui Patron, ...