Pont entre générations
Datte: 21/01/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
vacances,
vengeance,
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
confession,
couple+f,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... compris que vous deux…
C’est Hugo qui répond à la question non formulée de son amie :
— Que nous étions amants ? C’est vrai. Depuis hier.
— Alors je ne peux pas rester.
— Léonie, tu peux rester. Moi, je le souhaite, je le désire. Nous sommes plus forts qu’avant. Mais les choses ont changé. Ta décision t’appartient.
— Je ne comprends pas…
— Tu vas comprendre.
Hugo se lève. Il se dirige vers Martine pour lui prendre la main. Il l’entraîne sous les yeux de son amie. Quelques pas dans le couloir. La porte de la chambre est restée ouverte. Le lit est en bataille. Le couple entre.
— Tu es certain de ne pas faire une erreur ? Et si elle partait ?
Juste un chuchotement au creux de l’oreille d’Hugo. Martine a compris l’idée de son jeune amant. L’idée en elle-même ne lui déplaît pas : ce serait une façon délicieuse de continuer ces vacances commencées sous de si beaux auspices. Mais si Hugo perd définitivement Léonie, elle craint qu’il lui en veuille même si elle n’est coupable de rien.
Dans l’esprit d’Hugo, l’idée a jailli comme une évidence. Elle est la combinaison de plusieurs facteurs, l’un ancien, les autres plus récents. Les libertés que le couple s’accordait n’étaient pas anodines. Léonie et lui l’avaient décidé facilement, comme si c’était naturel. Pourtant, combien de jeunes font de même ? Ainsi, la soirée avec le couple dont l’homme était soumis à sa femme. Ils étaient un peu plus vieux, et la pratique étonnante. Et pourtant, elle, comme lui, ...
... semblaient heureux, en harmonie, avec un goût pour la jouissance très fort. Et Martine ? Une autre génération. Des tabous et des convenances balayés par un adultère, et une réaction peu commune qui avait transformé les pratiques sexuelles du couple. Léonie et lui étaient plus proches de ces couples que des autres. C’était évident. En s’accordant cette liberté sexuelle, ils se cherchaient. Ils avaient joué avec le feu. Mais c’était idiot de se priver de tous ces plaisirs qu’Hugo devinait a portée de main.
Alors oui, il était décidé à prendre le risque. Mais il avait confiance.
Il ne répond pas à sa maîtresse. Au contraire, il défait la serviette et Martine est nue devant lui. Il enlève son slip hâtivement enfilé pour aller ouvrir la porte à Léonie. Léonie qu’ils ont laissée dans le salon. Il embrasse sa maîtresse. Martine se laisse faire ; après tout, ce garçon est assez grand pour savoir ce qu’il fait ! Elle le caresse. Le sexe encore flasque réagit très vite. Il grandit, forcit, monte et vient se coller contre le ventre. Hugo aussi joue avec son corps. Bientôt le baiser devient de braise et chacun caresse le sexe de l’autre.
Hugo surveille la porte. Rien.
Martine le pousse sur le lit. Elle s’installe pour le pomper. Voilà une caresse qui ne peut que perturber une femme, une amante : voir son mec la queue gobée par une bouche autre que la sienne doit interpeller.
Mais Léonie n’est pas là. Hugo craint soudain qu’elle soit partie sans comprendre ce qu’il lui ...