1. Summer of Love 2


    Datte: 20/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mysterious1991, Source: Hds

    Quand elle dort, que Bérénice est belle. Une belle endormie. Irrésistible. Ses cheveux longs sont lâchés, comme elle en a, en général, l’habitude. La nuit, elle ne dort pas avec ses lunettes. Quand elle m’embrasse, ses beaux yeux couleur chocolat sont fermés, ou mi-clos. Et quand elle les ouvre de nouveau, ils sont pétillants. De jolis yeux d’une femme amoureuse. Heureuse. Je veille à ce qu’elle le soit. Dans n’importe quelle circonstance. Et quand elle ouvre ses magnifiques prunelles, au petit matin, je me dis que je suis l’homme le plus chanceux de la Terre. Le plus verni. Un homme béni des dieux, mais aussi un homme à la mer… parce que je ne peux pas résister à Bérénice. Et elle le sait, cette petite coquine, elle le sait ! Non seulement elle me plaît, de jour comme de nuit, mais elle me donne carrément envie, dès notre premier regard de la journée, alors que le jour ne s’est pas encore levé, et que nos rideaux sont encore fermés. Bérénice, ELLE, et ELLE SEULE, fait que le jour se lève encore. J’aime Bérénice...
    
    Le tout premier baiser de la journée, c’est sacré. Il a quelque chose, un je-ne-sais-quoi. Ses yeux s’ouvrent lentement et se dilatent, pétillent du fait que je suis l’objet de son premier regard. Que Bérénice est belle. Craquante. Irrésistible. Et quand elle sourit… Rhoo ! Ses lèvres sont roses. Pleines. Que c’est un délice d’y poser les miennes. Rhoo ! Bien qu’elle n’ait pas encore mis son fameux baume à la vanille (elle ne le fait qu’au moment de se faire ...
    ... belle, après avoir pris sa petite douche et s’être habillée, maquillée), ses putains de lèvres sont délicieuses. Sans aucun doute, je suis l’homme le plus chanceux de la Terre. Bérénice se fait belle pour moi. Dès le premier petit baiser de la journée, je sais déjà que la journée commence bien, et ça me fait comprendre que le jour se lève encore. Qu’en est-il de Bérénice, par contre… ?
    
    Avant que l’on se couche et l’on s’endorme, et ce, même si elle semblait se faire du mouron pour je-ne-sais-quoi, elle s’était dévêtue et avait affirmé qu’elle avait l’intention de dormir nue cette nuit, tout contre moi. Il faisait plutôt bien dans la chambre, mais Bérénice savait qu’elle aurait chaud en se prélassant, en se «dorlotant» contre mon corps. Dans l’intimité, ma «pupuce» avait pour habitude de me dire que mon corps est chaud, tendre, et que le contact de nos corps est synonyme de promesses et de… frissons forts. Dans la nuit, dans l’intimité de notre chambre, notre lit est chaud parce que nos deux corps s’y prélassent. Bérénice est allongée, tranquillement, lascivement, dans nos draps, face à moi. Je suis allongé, les yeux béats, dans nos draps, et je la regarde avec les yeux de l’amour. La voir nue, dans notre lit… Rhoo ! Elle me donne envie… Oh oui… !
    
    Bérénice me donne envie de l’embrasser. Rhoo ! Encore et encore et encore. Elle a dormi, nue, cette nuit, et j’imagine que là où son corps s’est étendu et s’est reposé, ce n’est plus que chaleur. Chaleur et… moiteur. Quand elle a ...
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