1. Révisions d'été


    Datte: 19/01/2020, Catégories: fplusag, jeunes, voisins, fépilée, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, Auteur: Nicolaquitaine, Source: Revebebe

    ... lendemain matin, je profite à nouveau des charmes de ses jambes. Et elle m’ignore superbement, comme si la soirée de la veille n’avait été qu’un rêve. Je passe la journée à attendre son retour, qu’elle me fasse un signe. Comme la veille, ce n’est que le soir venu qu’elle semble se souvenir de ma présence. Cette fois, elle porte un peignoir, rose. Pas de spectacle aujourd’hui. Après avoir jeté un regard en ma direction, elle sort sur son balcon et me regarde fixement. Pas de cigarette. Elle a son téléphone en main. Mon sang ne fait qu’un tour, je sors le mien. Comment faire ? Je prends une feuille blanche et inscris mon numéro au marqueur. Je la lui montre. Elle rit. Et compose quelque chose. Ça sonne. Je regarde le smartphone dans ma main. Je n’ose pas y croire. Je décroche.
    
    – Allo ?
    
    Je bégaye, je suis sûr que je suis tout rouge. Elle me dit de venir, à une condition. C’est qu’une fois dans son immeuble, sur le palier de sa porte, je me mette nu avant de sonner à sa porte. J’acquiesce.
    
    Je me précipite, je descends les marches quatre à quatre, je fais le tour du pâté de maison et sonne. La porte s’ouvre, je monte les escaliers. Une fois arrivé devant son palier, je reprends ma respiration et regarde autour de moi. Personne. J’écoute. Pas un bruit dans la cage. J’ôte ma chemise, mon bermuda, mon caleçon et mes chaussures. J’appuie sur la sonnette après avoir vérifié le numéro de l’appartement. Ce serait dommage de se tromper. La porte s’ouvre lentement. Je dois avoir ...
    ... l’air ridicule, tout nu, en tenant mes affaires dans mes bras. Elle est toujours vêtue de son peignoir. Elle est belle, avec ses cheveux châtains coupés au carré et ses yeux noisette. Elle me dévisage de haut en bas puis me sourit. Elle me fait signe d’entrer. J’obéis et pose mes affaires où elle me le dit, à côté de la porte. Je me sens emprunté tandis qu’elle referme la porte derrière moi.
    
    – Un café ?
    
    Sa voix rauque, sensuelle, me donne des frissons. J’acquiesce, sans un mot. La gorge nouée, j’ai l’impression d’être devenu muet. Elle passe devant moi, se rend vers le coin cuisine. Je n’ose plus l’observer, étrange pour quelqu’un qui a passé ces derniers jours à la mater sans vergogne. Elle semble s’en amuser. Elle ne se gêne pas, elle, pour me détailler. Je garde les mains devant mes attributs virils. J’ai l’impression que ma queue est devenue toute petite, que mes couilles se sont rétrécies, comme si je venais de sortir de l’eau glacée. Elle sert les cafés sur la table basse et s’assoit sur le canapé. Elle me désigne le pouf qui lui fait face. J’obéis.
    
    Le silence me met mal à l’aise. Il semble l’amuser. Elle croise les jambes. Le peignoir glisse, dévoilant ses cuisses. Quand elle se penche pour prendre sa tasse, son décolleté s’ouvre et j’aperçois les contours de ses seins. Je ne sais plus où regarder. Elle boit, à petites gorgées. Ma peau est couverte de chair de poule malgré la chaleur ambiante. Elle me dit de boire. J’obéis, prenant ma tasse à deux mains. Elle a ...
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