La bourgeoise et le marabout (37)
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... et les relations sexuelles, on préserve son bonheur familial tout en appréciant le plaisir physique.
Après quelques secondes de réflexion, Nathalie me répond :
— Oui, je comprends ce que vous m’expliquez. Je dois d’ailleurs vous avouer que je fréquente quelques sites de rencontre, que j’échange avec des inconnus, mais je n’ai jamais osé franchir le pas. Plus je crois par timidité que par peur de le regretter ensuite.
Souhaitant en savoir plus sur ces envies, je lui demande si elle a des envies précises. Elle me sourit, boit une bonne gorgée de Boulaouane et se confie :
— Au risque de vous surprendre, j’ai un tempérament de femme soumise et je fantasme beaucoup sur de jeunes blacks et beurs. Aussi surprenant que cela puisse paraître, mon envie la plus forte est d’être le jouet sexuel de jeunes des cités.
Je réfléchis un instant, puis je lui demande :
— Travaillez-vous cette après-midi Nathalie ?
Elle me répond que non, car elle a pris une demi-journée de RTT et est donc déjà en week-end.
Je me lève et je lui dis que je vais aux toilettes avant de passer un coup de fil.
Lorsque je reviens à table, Nathalie a déjà réglé l’addition et est prête à partir. Je lui dis :
— Vous m’avez dit habiter dans le XVIIème près des Ternes, je suis en voiture et je peux vous déposer en passant si vous le souhaitez.
— Merci beaucoup, c’est très gentil à vous et cela va me permettre d’éviter le métro,
me répond-elle avant que j’ajoute :
— Je dois auparavant ...
... passer chez un client près de Saint-Ouen pour récupérer des dossiers. C’est à deux pas.
Et nous voici en route vers Saint-Ouen et le jeune Karim (CF. chapitres 17 « Dans la peau d’une kahba et 21 « Baisée dans la cité ») que j’ai appelé quelques minutes plus tôt pour mettre mon plan au point.
Une fois à Saint-Ouen, nous passons devant Les Puces puis je traverse la ville pour rejoindre la zone industrielle des docks sur les quais de Seine. J’arrive devant un grand chantier en pleine rénovation, j’entre dans la zone en travaux et je me gare près des bungalows où sont installés les bureaux de l’entreprise de construction et les logements du personnel de chantier. J’invite Nathalie à descendre pour lui éviter de rester seule dans la voiture. Je l’entraîne avec moi vers l’un des bungalows, je frappe à la porte et c’est Karim qui m’ouvre. Il joue parfaitement le rôle convenu au téléphone en déclarant :
— Bonjour Madame de Saint Jouy, le chantier est fermé cet après-midi, mais on m’a laissé les dossiers pour vous.
Et il me tend une liasse de documents.
Je feuillette quelques pages et range le tout dans mon sac.
Puis Karim ajoute :
— Si vous le souhaitez, je peux vous offrir un thé à la menthe. Les logements sont un peu rudimentaires, mais le thé sera très bon.
Je me tourne vers Nathalie :
— Qu’en dites-vous ? C’est parfait après notre excellent couscous de ce midi.
Elle acquiesce et nous suivons Karim dans l’un des bungalows attenants au premier.
Une ...