1. Les aventures d'un queutard (2)


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... plein de mec au boulot rêvent de te sauter.
    
    - Dont toi ?
    
    - Evidemment, mais tu le sais depuis longtemps.
    
    - Et si tu me décevais ? Au lit, j'entends ? Tu es trop sûr de toi.
    
    - C'est un risque que je suis prêt à courir.
    
    - Tu ne sais pas ce que tu risques. Je suis très exigeante. Il faut que ce soit dur et que ça dure.
    
    - Banco.
    
    - Bon, tu as gagné, on va baiser ensemble, ça fait quelques jours que je suis à la diète et j'ai besoin de sexe. Tu as intérêt à être à la hauteur. Mais d'abord, on va dîner. Je connais un petit resto sympa dans le coin. Allez, on y va.
    
    *******
    
    Le dîner se déroula dans une atmosphère spéciale, pré érotique en quelque sorte. Marjorie plaçait quelques allusions mettant en doute la virilité des hommes qu'elle avait connus et doutant de celle de Tom. "Il vous faut un quart d'heure pour bander dur et au bout de cinq minutes, vous bandez mou". Celui-ci répliquait en disant que nombre de femmes ne sont que "des planches à pain", coincées, incapables de verbaliser leur plaisir, au fond aussi égoïstes que les hommes :"vous ne pensez qu'au cul mais vous préfèreriez sécher sur place que de l'avouer". A la fin du repas, elle lui murmura à l'oreille qu'il n'aurait plus une goutte de sperme à décharger pendant un mois. Il lui répliqua qu'il allait la partager en deux à coups de queue, qu'il s'enfoncerait en elle jusqu'à la gorge. Résultat : il avait la bite tendue jusqu'au niveau de la ceinture et elle trempa tellement sa culotte qu'une trace ...
    ... était visible sur sa chaise quand elle se leva. Ils ne pensaient plus qu'à une chose : baiser.
    
    Il l'aurait presque culbutée dans l'ascenseur menant à l'appartement de Marjorie (finalement préféré au sien) mais un couple de retraités les accompagnait. Dès le vestibule, ils s'embrassèrent avec voracité tout en se débarrassant de leurs vêtements, dispersés sur le sol sur le chemin de la chambre. Le pantalon encore aux chevilles, Tom lui offrit sa queue à sucer alors qu'elle en était encore à enlever ses chaussures. Elle reconnut que son érection était très conséquente mais ne put s'empêcher de poser une réserve :
    
    - Ne me fais pas le coup de gicler trop tôt, hein ?
    
    Sa manière de sucer n'était pas des plus délicates. Elle procédait avec l'appétit de quelqu'un privé de repas depuis plusieurs jours. Elle lui pétrissait les couilles avec une telle ferveur qu'il ne put réprimer un gémissement. Quand enfin elle fut à poil, elle s'étala sur le lit, cuisses ouvertes, faisant un geste du doigt signifiant "viens par là maintenant".
    
    Mais il n'était pas pressé. Tout en coiffant sa capote, il considéra longuement le corps de Marjorie : ses seins fermes aux pointes longues et érigées, son ventre plat, ses cuisses larges et denses, mais surtout son bas-ventre si complaisamment exposé avec une vulve palpitante sous un pubis brun abondamment fourni. Un vrai béret basque. Il n'avait pas vu une femme aussi poilue depuis des lustres et il éprouva un désir violent d'y plonger son museau. ...
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