1. Ma première expérience avec une femme


    Datte: 19/01/2020, Catégories: fh, fplusag, fagée, inconnu, voiture, intermast, Oral init, inithf, Auteur: Didier Ero 61, Source: Revebebe

    ... Pouvez-vous regarder ?
    — Attendez, je vais voir !
    
    Elle fit le tour de la voiture, ouvrit la portière gauche et chercha dans sa boîte à gants.
    
    — S’il vous plait ! Je ne trouve pas ! Pouvez-vous venir ?
    
    À mon tour, je fis le tour de la voiture par l’arrière pour aller du côté gauche de la voiture. Je l’aperçus accroupie sur le bord de la voiture en train de chercher dans la boîte à gants. Enfin, comme le manteau était ouvert, je pus voir un peu plus de ses jambes. De très belles jambes, très fines aux chevilles, de beaux mollets musclés. Elle devait porter une jupe, sûrement un tailleur. Elle travaillait dans un bureau, elle était peut-être assistante de direction ou peut-être avait-elle avoir des responsabilités au sein de son entreprise. Elle avait dit qu’elle avait une réunion très importante à 11 h.
    
    Je m’approchai d’elle et elle s’écarta un peu pour me laisser de la place, toujours accroupie. Je fixai ses jambes de nylon noir et, comme elle bougea, je pus voir le haut de ses bas ! Je rêvais ou était-ce la réalité ? J’ai toujours rêvé de connaître ce genre de situation. Combien de fois je me suis masturbé en imaginant caresser de belles jambes comme celles-ci, gainées de bas nylon ! Je sentis mon sexe gonfler de plus en plus. Je devais avoir une belle bosse ! Évidemment, elle a dû s’apercevoir que je fixais ses jambes et donc se releva. Avait-elle remarqué qu’elle m’avait excité ?
    
    — Allez-y, fouillez dans la boîte à gants, moi je ne trouve rien ! dit-elle ...
    ... nerveusement.
    
    Je suivis ses ordres. Je cherchai cette maudite clef antivol avec énervement car moi aussi j’allais être en retard si cela continuait comme cela ! Enfin, j’ai pu trouver celle-ci, rangée dans la pochette avec tous les documents.
    
    — Madame, ça y est, je l’ai trouvée ! Maintenant, je peux changer cette roue.
    
    Son visage nerveux et triste est d’un coup passé à la joie, la bonne humeur. Elle me dit :
    
    — Merci ! Euh ! Mais comment vous appelez-vous, au fait ?
    — Didier.
    — Merci Didier ! Moi, c’est Catherine !
    
    Reprenant ma tâche, je débloquai les écrous de la roue, fit monter le cric, enlevai la roue crevée, remis l’autre et la serrai, puis descendis la voiture. Après avoir tout rangé, je rendis la fameuse clef à Catherine.
    
    Elle me remercia longuement, me disant lui avoir sauvé sa vie, du moins sa journée.
    
    — Didier ! Je ne sais pas comment vous remercier ! Vous avez été d’une efficacité !
    — De rien ! Je n’allais pas laisser une femme se débrouiller seule ! Par contre, je veux bien quelque chose pour nettoyer mes mains. Elles sont toutes noires et je dois passer un concours dans une heure !
    — Entrons dans la voiture, déjà il y fait plus chaud, et nous serons mieux assis. Je dois avoir des lingettes dans mon sac.
    
    Nous entrâmes tous les deux dans la voiture en ayant mis nos manteaux à l’arrière. Elle prit ses lingettes de son sac et ouvrit le paquet.
    
    Elle portait un tailleur de couleur noire avec un chemisier blanc. Je pus enfin voir sa poitrine. ...
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