1. Au rendez-vous d'Éliane à Lacanau


    Datte: 25/03/2018, Catégories: fh, fplusag, plage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, pénétratio, hdanus, init, Auteur: Lucien Ramier, Source: Revebebe

    ... tous les phantasmes de cette femme. Il se sent bien jeune et bien inexpérimenté pourtant pour atteindre ce but, mais il ne manque pas d’imagination :
    
    — Éliane, je te propose de jouer avec moi à un petit jeu : tu seras l’enseignante et je serai l’élève. Je vais comme un acteur débutant essayer de te jouer, avec tout mon corps de garçon, la leçon du livre que tu m’as surpris à lire hier dans le bois. Tu corrigeras cet exercice si tu veux. D’accord ?
    
    Elle part d’un éclat rire enjoué en s’allongeant sur le lit, encore habillée de sa robe éponge.
    
    — Alors à toi de jouer au premier de la classe, si tu veux vraiment me donner du plaisir.
    
    Sans se presser, il s’étend près d’elle. D’une main hésitante, il commence à lui caresser les cheveux :
    
    — Je dois t’avouer qu’une chose que tu m’as dit tout à l’heure en souriant est strictement vraie : oui, je suis tombé amoureux de toi et je suis fou, mais de toi. Car tu as fait de moi un homme. Ton intuition ne t’a pas trompé. Tu es la première femme à me témoigner ses désirs amoureux. Tes cheveux sont beaux et doux et tu es belle. L’odeur de ta chevelure m’enivre.
    
    Luc approche son visage de celui d’Éliane qui, détendue, ferme les yeux et semble se reposer. Comme elle tourne légèrement la tête, du bout de sa langue il atteint l’arrière de ses oreilles. En continuant ses caresses et ses baisers, il descend doucement le long de son cou. Il écarte la robe éponge pour caresser de ses mains les seins délicatement. Il titille de sa ...
    ... langue les petits bouts qui s’érigent. Elle ne semble pas indifférente à toutes ces caresses :
    
    — Ne te presse pas trop, donne-moi du plaisir.
    
    Il a compris qu’il devait descendre peu à peu sur ce corps en l’effleurant doucement, pour éveiller en elle encore plus de désir. Il s’avance lentement vers son petit nid d’amour. Quand au bout d’un moment il approche du but, il note sur son visage quelques expressions de plaisir. Il promène maintenant doucement ses doigts à l’intérieur des cuisses et effleure l’orifice du vagin. Il continue à caresser tendrement les parties extérieures du sexe de cette femme : les grandes lèvres, puis les petites lèvres. Son corps se soulève en de petits soubresauts. Elle semble prendre du plaisir, se dit Luc. Mais subitement, elle descend du lit et enlève sa robe éponge. Elle est maintenant complètement nue.
    
    — Jusque-là tout va bien, tu es un bon élève, dit-elle souriante. Tu vas t’étendre sur le dos. Ce sera plus facile pour toi.
    
    Elle monte sur le lit, et en écartant ses jambes vient s’accroupir sur le visage de Luc. Jamais il n’aurait pu penser il y a seulement deux jours pouvoir contempler d’aussi près l’intimité la plus secrète d’une femme. À quelques centimètres de ses yeux s’étale le spectacle de ses phantasmes. Une odeur enivrante et agréable, qui lui était jusque-là inconnue, lui envahit le nez. Elle ne bouge pas et semble attendre un geste. Il recommence à caresser délicatement les grandes lèvres, et du bout de sa langue parcourt la ...
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