L'ami d'enfance - Histoires de Sexe

L'ami d'enfance

... semble nécessaire pour qu’elle s’abandonne complètement.

Une vague de plaisir monte en elle et elle se tord en râlant sous ma bouche. Elle vient de jouir.

Lentement, je retire les bas qu’elle porte encore. Je trouve que cela lui donnait un air plus coquin, mais j’ai envie de sentir sa peau, de caresser ses jambes et de m’occuper de ses pieds. Elle se laisse faire, n’ayant cette fois plus aucune réticence à me laisser lever ses jambes et ne cherchant plus du tout à cacher son intimité. Je jette les bas sur le sol, où un certain nombre de vêtements gisent déjà et je découvre la peau douce de ses jambes. Je les caresse un long moment, puis je me m’occupe de ses pieds qui me plaisaient beaucoup. Je suce chacun d’eux, prenant les gros orteils dans ma bouche et passant ma langue entre les autres comme j’aime le faire. Je sens qu’Isa s’abandonne complètement.

Ensuite, je m’allonge sur le dos et je lui dis :

— Maintenant, à toi de t’occuper de moi, montre-moi ce que tu sais faire…

Elle se relève et commence à balayer tout mon corps de ses longs cheveux soyeux. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ses caresses particulièrement douces et sensuelles, surtout quand sa chevelure effleure mon sexe de plus en plus dur.

Après quelques minutes, ses mains se posent sur mon torse et descendent vers mon ventre, puis vers mon sexe qu’elle caresse d’abord doucement avant de le prendre en main. Je comprends qu’elle en apprécie les proportions et la dureté.

— C’est encore ...

... mieux qu’avec Alex, me murmure-t-elle.
— Pourquoi, c’est plus gros ?
— Oui, avoue-t-elle en me prenant entre ses deux mains… Et c’est vraiment très dur…

Je la laisse jouer avec mon pénis et mes bourses pendant un moment, puis je guide sa tête vers ma verge dressée. Je sens une certaine résistance.

— Tu n’aimes pas ça ?
— Si, mais je crois que je ne suis pas très douée…

Je reprends alors mon mouvement sur sa tête et elle ouvre les lèvres, puis dépose un baiser sur mon gland avant de parcourir la hampe de mon sexe de sa langue et finalement de le prendre en bouche.

— Qu’est-ce que tu racontes ? Tu es très douée. Et crois-moi, j’ai de l’expérience et je suis un connaisseur.

Sans doute encouragée par mon appréciation, elle redouble de vigueur et d’application. Je sens sa bouche aller et venir sur mon membre durci au maximum et sa salive couler jusqu’à mes testicules.

N’en pouvant plus, je me relève et la fais allonger sur le dos ; puis, prenant chacune de ses cuisses avec mes bras, je la pénètre sans ménagement.

— Mmmmm… Oui, viens en moi ! me dit-elle alors que j’y étais déjà.
— Oh, oui… Que c’est bon ! réponds-je.

Mon sexe pénètre le sien sans aucun effort tant il est lubrifié. Je la pilonne pendant un long moment, puis ralentis la cadence pour entreprendre des mouvements lents, mais beaucoup plus profonds.

— Oui, viens en moi, me répète-t-elle. Prends-moi !

Je continue mes va-et-vient pendant quelques minutes, puis je m’arrête brusquement alors ...