1. CHAPITRE 12 : Maison


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Cramache, Source: Hds

    ... J’embrasse ses doigts, ils ont un gout de menthe :
    
    -J’ai bien cru qu’ils allaient restés toute la nuit, dit Sylvain.
    
    -Ils n’auraient jamais osé. TU n’as pas été trop jaloux ?
    
    -Désolé, j’ai cru…
    
    -C’est pas grave, je sais que tu as confiance en moi. Pour te rassurer, le seul mec avec qui j’ai couché présent ce soir, c’est toi.
    
    -Pourtant, ce mec, Thimothé, il te draguait.
    
    -Il est en couple et heureux, c’est juste un jeu entre nous, pour la forme. Je ne l’ai jamais touché, et je ne l’ai jamais voulu.
    
    -Il a un beau cul, je trouve.
    
    -C’est vrai, et personne, jamais, ne l’a touché avant qu’il rencontre son copain. Ça fait plus de dix ans qu’ils sont ensemble.
    
    -Pourquoi il est pas venu ?, s’étonne Sylvain.
    
    -Voyage d’affaire, il rentre demain. Je ne l’ai appris que ce soir. Ça aurait été sympa de te le présenter.
    
    -Tu les as connus comment ?
    
    -Juste après ton départ, je suis allé manger à Flunch. Tim s’est installé à ma table, j’avoue que je voulais me le faire, mais en fait, on a sympathisé.
    
    -J’ai du mal à croire qu’il ait pu te résister.
    
    -C’est pourtant le cas, il sortait déjà avec Yann. Bon, je vais me doucher et me mettre au lit.
    
    -Je te rejoins vite.
    
    Je monte et je me déshabille. L’eau chaude qui sort des différents jets massent mes muscles endoloris. Quelle joie d’avoir une douche à jets massant, on re-trouve ses forces. Sylvain me rejoint, et je l’embrasse tendrement. On sort après qu’il m’ait lavé entièrement, et je le porte sur le ...
    ... lit. Avec les travaux, nous n’avons pas souvent fait l’amour, simplement quelques caresses volées à cause de l’excitation du moment. Je suis très chaud, et en manque de son cul si ferme. Je le dépose sur la couette avec délicatesse, et j’écarte ses cuisses. Mon sexe est raide comme jamais, et mes couilles bien pleines.
    
    L’eau de la douche me sert de lubrifiant, j’y ajoute un peu de salive que j’étale sur ma queue. Sylvain soulève ses jambes, ses pieds sur mes épaules. Je les em-brasse rapidement, ce sera pour un autre jour que je m’occuperai d’eux. Je place mon gland contre son trou, Sylvain se cambre pour moi. Je pousse légèrement, et mon gland entre en lui. Je ne vais pas plus loin, Sylvain grimace de douleur. Il agrippe les draps et respire plus fort. Quand il se calme, je recommence à le pénétrer, tout doucement, centimètre par centimètre. Je suis très vite obligé de me dégager et de recommencer du début. Lorsque je suis en entier en lui, je me penche et l’embrasse.
    
    Mon regard ne quitte pas le sien tandis que je le pilonne avec douceur et ten-dresse, que je caresse sa cuisse velue. Il halète plus fort à chaque mouvement, il s’accroche à moi, et je sens qu’il réclame sa dose de sauvagerie. Alors, je vais plus fort en lui, plus vite. Ma queue coulisse avec aisance, ses yeux se ferment et il me sourit. Je lui donne ce qu’il veut au point de le faire crier et ses cris me donnent plus de force. Dans un spasme, je m’enfonce en lui et mon jus gicle puissamment tandis que je ...