Une soirée très surprenante - Histoires de Sexe

Une soirée très surprenante

... votre pote nous a soulées et comme on n’a pas voulu vous laisser en plan, on a voulu passer le reste de la soirée avec vous. On est des gentilles filles, pas vrai ? Dit-elle en riant. Pour le reste, quoi qu’il se passe, on peut dire que ça restera entre nous ?

– Hein ? Heu, ouais, bien sûr. ‘fin, on dira pas à Cédric qu’on t’a vue, t’inquiète pas !

Ne voulant pas passer pour une proie à leur merci, je me glissai vers Jean en collant ma main sur son sexe à travers son jeans et en collant mes lèvres sur les siennes… – Non, ne dis rien…

Il était assez surpris, c’est le moins que l’on puisse dire, mais il me rendit mon baiser, passionnément. J’entendais Alex’ embrasser Pierre, également. Nous nous sommes levés et avons continué à nous embrasser. J’ai ensuite laissé tomber ma robe et ai jeté mes sandales derrière moi. Lui, a enlevé sa chemise, laissant apparaître un torse sec, tracé, sans pour autant être une masse de muscles. Il était beau, pensais-je. Le temps pour moi d’enlever mon soutien-gorge (pour me retrouver en string – blanc, en dentelle), il a enlevé son jeans pour se retrouver lui, en caleçon (avec une bosse prometteuse à l’entrejambe). Il tremblait, semblant ne pas réaliser ce qui allait se passer. Nous nous sommes encore embrassés, lui, me caressant les fesses, moi, baissant son caleçon pour finalement avoir une queue de belle dimension dans la main, que je me suis mise à caresser lentement, du bout des doigts. Je l’ai fait assoir sur le lit, puis, je me ...

... suis tournée dos à lui, pour m’assoir à mon tour mais, sur sa queue, pour que sa queue, justement, vienne se coincer entre mes petites fesses… Lentement, sensuellement, j’ai commencé à le branler avec mon cul, sentant ainsi sa queue grossir entre mon fessier… Il respirait très fort et son cœur semblait battre à toute vitesse.

Alexandra, ma chère petite cochonne, elle, avait sa robe relevée et son string enlevé et, Pierre, de son côté, lui caressait le sexe tandis qu’elle avait sa main dans son pantalon, à la recherche du sien… Nos regards se sont croisés et dans le silence et la douce chaleur d’une nuit de printemps, nous nous sommes parlées : « On va s’amuser, ce soir…

Je mouillais comme une folle et sa queue et mon sexe étaient bien chauffés, maintenant… Je me suis relevée et j’ai laissé glisser ma culotte pour être totalement nue, à présent. Encore quelques minutes de cette gâterie, pour le sentir peau contre peau, puis, je me suis lentement mise à genoux devant lui ; j’avais envie de le sucer, d’avoir sa queue dans ma bouche… Face à sa bite, je détaillai l’engin en question, qui, sans être spécialement long, était assez épais et large, avec de belles couilles qui pendaient et un gland assez gros (exactement ce que j’aime, bien qu’il y avait un peu trop de poils à mon goût, mais tant pis). Après avoir reniflé sa bite comme une morte de faim, je commençai à lécher, partant de la base pour remonter jusqu’à son gland, n’oubliant pas de déposer de petits bisous sur ce ...