1. Départ vers l'inconnu


    Datte: 25/03/2018, Catégories: f, fh, ff, vacances, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral fgode, lettre, initiatiq, Auteur: Jielel, Source: Revebebe

    ... vers la bourgade voisine, le long trajet pour rejoindre l’aéroport de la capitale et surtout le départ avec un groupe d’un autre pays, d’une autre langue. Anonymat complet.
    
    Ce n’est qu’en approchant de l’aéroport, après avoir bien vérifié que personne ne me connaissait dans le train, que j’ai pris mon sac et que, très discrètement, je me suis éclipsée dans les toilettes. J’ai respiré un bon coup, regardé mon personnage une dernière fois dans les yeux, me suis encouragée en criant un "Vas-y" au miroir et j’ai commencé la transformation. Tout d’abord j’ai défait mes cheveux, finis les chignons, ma longue chevelure allait pouvoir s’étendre sur mes épaules et aller caresser mon dos. J’ai ouvert légèrement la fenêtre et la jolie pince offerte par maman a disparu par l’ouverture. Le haut de mon tailleur s’est ouvert sans encombre, la jupe a glissé par terre. Très vite les collants que tu détestais les ont rejoints. J’étais là en combinaison, dans les toilettes d’un train qui m’emmenait vers l’inconnu.
    
    Pour m’épater j’ai alors pris les ciseaux de ma trousse et, tu ne me croiras pas, j’ai commencé à découper les bretelles de ma combinaison puis celles de mon soutien, prenant un malin plaisir à le découper comme s’il était coupable de mes frustrations. À les voir sortir si fièrement des déchirures de mon soutien, j’ai bien senti que mes tétons étaient fiers de cette première exposition. Le pauvre soutien a rejoint, en lambeaux, mes habits d’autrefois et tous ont disparu par la ...
    ... fenêtre. Enfin je me suis attaquée au dernier rempart à mon envol : cette monstrueuse culotte modèle "Petit Bateau". Les ciseaux ont été impitoyables, découvrant centimètre par centimètre mon intimité. Plus je t’imaginais derrière la porte, plus je sentais la lame déchirer les remparts et caresser mon ventre. Quand l’acier a fait céder le dernier lambeau d’élastique je n’en suis pas revenue. Moi, comme ça, à poil dans un lieu public ! Il m’a fallu de longues inspirations pour que je retrouve la force de tout jeter sur la voie.
    
    Mon sac presque vide, il me restait à essayer de dissimuler mon pubis sous mon short et à me couvrir d’un tee-shirt bien trop mince qui moulait ma poitrine frémissante. Pour la première fois elle se sentait libre, moi aussi.
    
    Encore quelques profondes respirations et je suis sortie l’air décidée. Alea Jacta Est.
    
    Je me suis vite assise dans un autre wagon avec l’impression d’être tout à fait nue et que tout le monde me regardait. C’était une sensation nouvelle, étrange, terrorisante quoique fascinante. Je gardais les cuisses fermées et le sac serré sur ma poitrine de peur qu’on ne devine ma nudité mais un frisson loin d’être désagréable me parcourait le dos.
    
    Heureusement il faisait chaud. Mais c’est la première fois que j’avais si chaud entre les cuisses. Au moins on s’habille au plus ça chauffe ?
    
    Par sécurité je me suis assise en face d’une jeune fille belle et sympathique. Elle m’a regardée longuement, souriant à tout moment. Elle semblait ...
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