1. La tentation d'un quadra (7)


    Datte: 16/01/2020, Catégories: Divers, Auteur: cirrus95, Source: Xstory

    ... vois ?
    
    Je visualise un truc noir, son corps en transparence.
    
    — Plus ou moins, tu es debout ? Couchée ?
    
    — Assise dans un fauteuil, les pieds sur l’appui de fenêtre.
    
    — Mais dis-moi, dans ce cas, la nuisette est grande ouverte. Je me trompe ? Et tu es nue en dessous ?
    
    — C’est bien ça, je me suis préparée pour t’appeler. Ça te plaît ?
    
    — Waouh ! Un peu, oui !
    
    — Et toi ? Comment es-tu ?
    
    — Euh... je corrigeais des copies. Je suis pas aussi bien préparé mais je ne suis pas indifférent à ce que tu me décris. Je suis mal à l’aise dans mon jean.
    
    — Mets-toi à l’aise mon grand, tu peux pas rester comme ça. Fais comme moi.
    
    J’enlève pull et T-shirt, jean et boxer atterrissent sur le sol. Je m’assieds dans le fauteuil relax.
    
    — Voilà, je suis tout à toi. Je ne t’ai pas trop fait attendre ? (Il s’est passé à peine 30 secondes)
    
    — Dis-moi comment tu es installé maintenant.
    
    — A poils, assis dans un fauteuil relax, face à la fenêtre, les cuisses sur les accoudoirs et la queue tendue. Ça te va ?
    
    — Humm, cette queue, tu bandes comme sur la photo ?
    
    — Bah oui.
    
    — Ecoute !
    
    Un silence puis j’entends des petits clapotis dont je devine l’origine.
    
    — Tu entends ? Le bruit de ma mouille quand je me branle ! Tu m’excites mon salaud !
    
    Je commence à me branler à mon tour et on continue à se raconter ce qu’on fait et ce qu’on ressent. Il y a de longs silences, des gémissements, encore des clapotis. Je me caresse lentement, le téléphone coincé contre ...
    ... l’épaule, une main serre mes couilles, l’autre tire lentement le prépuce, vers le bas, tirant ainsi sur le frein que j’ai très sensible. Ma queue est raide, dure, le gland très rouge, cramoisi. Une petite goutte s’en échappe. Elle aimerait sans doute la recueillir sur la langue. Je l’étale sur mon gland que je caresse du bout des doigts, surtout sur le frein que je fais rouler sous l’index.
    
    Je me sens près de jouir, je sers la base de ma queue pour l’attendre. Heureusement, son plaisir est là, tout proche si j’en crois ses gémissements
    
    — Je jouis, viens ! Me dit-elle.
    
    Il était temps, deux ou trois va-et-vient suffisent. Je me tétanise, mes fesses se décollent du siège, mes jambes sont secouées de frissons. Un premier jet de sperme chaud atterrit sur mon ventre, puis un autre beaucoup plus puissant m’arrive presque au menton suivi d’encore un autre.
    
    Je reprends mes esprits... à temps pour voir une silhouette dans la chambre de Lucie.
    
    Virginie, le même jour
    
    Mardi soir après le dîner
    
    Je suis étendue sur mon lit, plongée dans « La Peste ». Après Sartre, voilà Camus. La peste, évidemment, c’est la peste brune, les nazis. Je comprends bien l’analogie mais je ne vois pas trop comment ça se concrétise dans le récit. En tout cas, ça se lit très facilement. J’aime bien.
    
    Le téléphone sonne, deux fois, un blanc puis deux fois encore. Ça, c’est Lulu, faut que je monte, elle a quelque chose d’important à me dire. C’est pas très discret, toute la famille est au courant du ...