1. La fibre ou la vie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... !
    
    Julie, bien qu’à quatre pattes, humiliée et ridiculisée par son accoutrement, en particulier par ce qui lui sort du cul, sourit en avançant. Commence alors une longue séance de léchage. Séance entrecoupée de pauses lorsque la Maîtresse déclenche les vibrations des boules de geisha ou claque sans réelle violence les fesses de la chienne avec un martinet dont les brins paraissent bien soyeux pour faire réellement mal.
    
    Manifestement, Soumise et Maîtresse y trouvent leur plaisir. Et que dire lorsqu’Astrid qui s’est placée derrière ma femme remplace le plug par un gode qui la transforme en mâle et qu’elle encule mon épouse tout en tirant sur la laisse pour la « cabrer » encore plus fort.
    
    Putain elles ont la santé ! Je pense, alors qu’elles enchaînent les jouissances.
    
    Julie semble apprécier de jouer ce rôle. Il faut dire que les « punitions » ne sont que du plaisir.
    
    Personnellement ce type de fantasme ne m’a jamais effleuré. Julie avait-elle cette envie ? Pourquoi alors ne pas m’en parler. Elle avait honte ? Pourtant nous abordons sans tabous notre sexualité.
    
    — On dit lundi, même heure ? demande Astrid qui est sur le départ.
    — Bien sûr.
    — Tu verras. J’ai vu un truc sur le Net avec des cordes. Je vais en acheter et lundi tu vas te retrouver attachée et je ferai de toi mon esclave.
    — Oui, Maîtresse, répond ma femme d’un ton enjoué. Ton esclave sexuelle. Je suis impatiente.
    
    Voilà ! J’ai tout visionné, enfin à peu près, même si j’ai accéléré certains ...
    ... passages.
    
    Cela me fait tout drôle de retrouver ma femme qui est justement dans le salon. Partout où mon regard se pose, je peux y voir le couple s’ébattre.
    
    — Tu ne devrais pas tant travailler. Il faut que tu délègues. Et ce poste de sous-directeur que tu veux créer ? Viens te baigner. L’eau est encore chaude et il fait beau.
    — Tu as raison. Allons nous baigner.
    
    Et je commence à me déshabiller.
    
    — Quoi, tout nu ?
    — On l’a bien fait cet été. C’était sympa si mes souvenirs sont exacts. Tu te souviens ?
    — C’est vrai.
    
    Notre terrain est sur une hauteur. Personne ne peut nous voir, d’autant que le mur est doublé par une haie très haute.
    
    L’eau est bonne. Voir Julie évoluer telle une naïade me rappelle des souvenirs. Des souvenirs de cet été, mais aussi des images de ce que j’ai visionné. Je bande. Je lui montre ma verge tendue. Elle me suce sous l’eau comme cet été. Je la lèche assise sur le rebord de la piscine, ses pieds sur mes épaules, ouverte à mes caresses. Sa jouissance fait plaisir à entendre. Au moins elle n’a pas totalement viré lesbienne. Et quand elle me chevauche sur le transat, je ne peux m’empêcher de me demander pourquoi les deux femmes ne sont pas venues baiser dehors comme nous !
    
    Julie dort à mes côtés. À sa grande surprise, je lui ai fait encore l’amour dans notre chambre avant de dormir. Devant mon ardeur, elle m’a dit l’apprécier et m’a encouragé à nommer ce sous-directeur pour que je puisse rentrer plus tôt. Pourquoi pas « Alain Su… » ? Alain est ...
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