1. La fibre ou la vie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... rencontres.
    
    Je remonte le temps. Presque chaque jour, voir un jour sur deux le salon est le témoin de leurs ébats. Je comprends pourquoi Julie s’est inquiétée. Pourquoi pas dans notre chambre ?
    
    Je remonte encore. Il me faut un certain temps pour extraire de chaque journée, si elle existe, La vidéo du couple en action. Au fur à mesure, je constitue un nouveau Dossier que j’appelle « Salon » et dans lequel je copie la vidéo du jour.
    
    Et puis je découvre la première fois. Le « Jour 0 » de mon infortune.
    
    Cela fait donc quinze jours. À peine un mois après notre retour des vacances. Nous avions pourtant passé des vacances, au moins en partie, en tête à tête, en amoureux, en amants que le soleil et la mer avaient rendus inventifs et assidus. Mais d’une certaine façon c’était aussi à cause de ces vacances que…
    
    Mais il est quatre heures du matin et même un mari cocu a besoin de dormir.
    
    Dimanche – « Jour 0 »
    
    Je prétexte un travail urgent pour m’isoler dans mon bureau. Julie ne proteste pas. Elle a l’habitude.
    
    Je décide de visionner, au moins en partie, ce que le Cloud m’a restitué, dans l’ordre chronologique pour comprendre. Encore que « comprendre » puisse paraître bien inutile devant la puissance de ce que j’ai entrevu cette nuit. Mais peut-être découvrirai-je d’autres raisons que l’ennui…
    
    Beaucoup de petites vidéos. Manifestement Julie a invité des amies pour un après-midi « piscine ». Je l’avais encouragée sur ce point. « Invite des amies. Sors. ...
    ... Rencontre du monde. Ne reste pas seule à la maison. L’absence des enfants sera moins poignante. »
    
    Elle m’avait écouté. Des femmes passent dans le salon… Habillée… En maillot de bain… Un verre à la main… Bavardage… etc.
    
    Et puis entrent Julie et Astrid qui viennent par la terrasse.
    
    — Pour voir les photos, ce sera mieux à l’ombre, dit ma femme.
    
    Astrid acquiesce.
    
    Astrid est la femme d’un collaborateur. Elle est plus jeune que lui. Probablement la trentaine. Belle femme, gracile avec des formes qu’elle ne craint pas de mettre en valeur. Elle travaille dans l’immobilier. Si sa présentation pourrait agacer les acheteuses, nul ne doute que cela est le contraire pour les acheteurs hommes. En tout cas, son métier lui laisse du temps libre. Elle a sympathisé avec Julie depuis que j’ai invité le couple pour une soirée à la maison. J’aime bien lier des contacts, pas trop proches, mais assez tout de même, pour que l’idée d’une grande famille, aussi ringarde soit-elle, donne tout de même une bonne motivation au boulot.
    
    Manifestement Julie montre nos photos de vacances à son amie. Elles sont debout devant le micro.
    
    Je passe les commentaires.
    
    Et puis le « Oh, excuse-moi » de Julie et l’explication qu’elle donne me fait penser qu’elle a montré notre escapade de deux jours en bateau où nous avons vécu totalement nus.
    
    — Je suis désolée, mais Jean n’a pas cessé de me prendre en photo. Tu dois me trouver ridicule.
    — Pas du tout. C’est bien normal. Quel mari ne serait pas fier ...
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