1. L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (6)


    Datte: 16/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    “ Fabrice, il faut qu’on parle… “
    
    Ma femme était à côté de moi dans le lit, elle venait de couper l’éclairage, nous étions dans un noir absolu...situation idéale pour faire des confidences. Je me demandais bien ce qu’elle avait à me dire: l’exposé de la vérité, et de ce qui s’était passé ces deux derniers jours, me paraissait plus qu’improbable !
    
    “ Je t’écoute ma chérie …
    
    — Et bien voilà , j’ai fait la “paix “ avec ta mère .
    
    — Une bien bonne chose !
    
    — Et je lui ai parlé de nos problèmes de couple. Elle accepte de m’aider à me débarrasser de certaines de mes inhibitions avec toi . Mais pour cela je dois accompagner tes parents chez eux , pendant une durée indéfinie . Es tu d’accord ?
    
    — Tu es sûre de ton choix ?
    
    — Oui !
    
    — Et si je dis non ?
    
    — J’irai quand même !
    
    — Très bien, alors vu le manque de choix proposé, je me demande bien pourquoi tu me proposes une alternative qui n’existe pas ...très amusant ne trouves-tu pas ?
    
    — De toute façon, tu fais toujours des complications pour des choses simples… Tu n’as pas confiance en tes parents ?
    
    — Si bien sur, mais tu sais bien qu’ils peuvent être imprévisibles et parfois bizarres. Tu te souviens de ce que je t’ai raconté sur leurs fantaisies sexuelles ?
    
    — Voyons tu n’oses quand même pas penser que si je vais avec eux, ils me feront de telles choses ? Je suis ta femme quand même ! Tu cherches à me faire peur pour me garder sous ta coupe ?
    
    — Pas du tout...t’imaginer à la place de “numéro 9” ...
    ... m’amuserait beaucoup, je dois bien l’avouer ! N’est-ce pas “numéro 10” !
    
    — Mon dieu, tu es aussi abject que ta mère ! Je suis sûre que m’imaginer en tenue de soubrette, à quatre pattes, un collier de chienne autour du cou, et tenue en laisse par ta mère te ferait bander ! TE fait bander salop ! ( Cécile avait descendu sa main au niveau de mon entrejambe pour vérifier mon état d’excitation sexuelle .)
    
    — Et toi, mouiller ! ( J’avais la main entre ses cuisses et elle était déjà toute humide .)
    
    — Baise-moi ! Baise-moi de façon crade, dis moi des saloperies; dis-moi ce que tu voudrais que ta mère me fasse !
    
    — Chiche, espèce de petite trainée ! “
    
    Et je me plaçai sur le dos, attirant ma femme sur moi. Je sentis qu’elle se débarrassait de sa nuisette pour être nue sur moi, à califourchon sur mon sexe en érection. Elle s’introduisit mon mandrin dans sa fente et soupira de contentement. Elle commença alors à me chevaucher sauvagement, tandis que moi je donnais des coups de reins pour la bourrer au maximum. Le rapport fut très sauvage et très profitable pour tous les deux. Cela ne ressemblait pas du tout à ma femme de se conduire ainsi, et de se laisser aller à sa libido et à ses pulsions érotiques.
    
    Je décidai de la pousser dans ses retranchements, et de voir jusqu’où elle serait capable d’aller sous la férule d’acier de ma génitrice ... je jouais donc le jeu des questions-réponses, pour lui faire avouer tous ses fantasmes plus ou moins avouables. Je la sentais dans un état ...
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