Sous les jupons de l'église.
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... aux yeux, une bave abondante lui coulant jusqu’au menton lorsque le nœud atteignit le fond de sa gorge puis s’activa avec force. Mais bientôt, le jeune curé, novice de ces choses, ne put plus retenir le sperme qui engorgeait son urètre et un flot de foutre jaillit, débordant des commissures des lèvres de ma mère qui avala le jus poisseux sans protester comme elle réciterait un « Ave Maria ». Pensant en avoir fini avec la pénitence imposée, elle gardait en bouche le sexe de l’homme d’église, mais sans faire de mouvement, les yeux un peu dans le vague. Mais le jeune martiniquais revint à la charge après cet orgasme, le curé toujours bien vigoureux, se sentait d’attaque pour d’autres actes de pénitence.
-Vous n’avez pas encore assez expié, ma fille, et vous devrez être puni par où vous avez péché.
-Oui mon Père ! Pardonnez-moi par où j’ai péché.
Ma mère était perdue, se doutant de ce que le jeune prêtre avec son sexe énorme s’apprêtait à faire, elle était paniquée à l’idée que cette verge impressionnante toujours en érection puisse pénétrer son hôtel barbu dans ce lieu saint. Il releva sa robe, détourna la culotte de coton blanc et la pris en levrette sans la ménager, poussant son gros nœud jusqu’au plus profond de la matrice, cognant à chaque ruade l’utérus de toutes ses forces.
-Repentez-vous ma fille, j’extirpe de votre corps le vice et la luxure avec le bâton du pèlerin christianisant les infidèles.
Mais elle ne l’écoutait plus, se donnant encore plus de ...
... plaisir en projetant son cul vers la bite qui la perforait, ayant perdu toute inhibition de se savoir chevauchée dans la maison de Dieu par l’un de ses serviteurs qui se servait de sa chair avec concupiscence et la plus grande lubricité. Ma mère ne put s’empêcher de hurler lorsque le gourdin de l’homme de Dieu la défonça sans ralentir avant comme tout homme de foi, de la prendre dans la position du missionnaire, si bien nommée en cette circonstance, tout en psalmodiant des incantations on ne sait à quel saint. Il la besogna avec ardeur, la faisant jouir plusieurs fois.
Mais elle n’en avait pas fini avec l’homme d’église qui cette fois lorgnait sur son postérieur. Il alla au tabernacle et pris la burette d’huile pour lubrifier la rosace de ma paroissienne de mère, faisant couler l’huile sur l’œillet encore fermé et étala le liquide avec ses doigts avant de s’en servir pour la faire pénétrer dans l’orifice.
-Il faut soigner le feu par le feu, ma fille, tu seras punie par là ou tu as péché !
Puis il présenta son gland et poussa inexorablement jusqu’à ce que sa queue déflore le sphincter, faisant encore hurler ma mère, si brièvement initiée par le vieux magrébin à la sodomie. Mais le Père, deux fois plus jeune que ma mère qu’il appelait « ma fille », ne tenait aucun compte de ses supplications et l’enculait vaillamment, poussant son défonce-cul jusqu’au plus profond du rectum, la ramonant ainsi pendant de longues minutes, la prenant avec de plus en plus de facilité.
Maman ...