Grand Frère (et les sorcières) (8) - Histoires de Sexe

Grand Frère (et les sorcières) (8)

Je me rends donc comme promis dans la chambre de Liza. Je suis accueilli par un câlin de Kira, qui est au summum du sexy dans son chemisier ultra moulant, décolleté plongeant laissant apparaître la moitié de sa poitrine et sa jupe tellement raz la touffe qu’il ne suffit qu’elle se penche de quelques centimètres pour constater qu’elle ne porte rien en dessous. Liza est déjà prête, assise sur son lit avec pour seul vêtement une petite culotte blanche. Mon Dieu qu’elle est bandante ainsi avec son aire ingénue. Oui je l’avais déjà croisé si peu vêtit, mais je n’avais jusque-là jamais eu de pensées déplacées envers elle. Aujourd’hui c’est différent, je sais qu’on est réuni pour qu’elle apprenne à me faire jouir. Que je vous fasse une petite description de ma Liza adorée. Elle est toute menue, mesure 1m62, a de jolis cheveux châtain mi longs et de petits seins tout mignons. Si vous voulez vous faire une idée plus précise d’à quoi ressemble ma petite sœur, recherchez Adria Rae sur votre moteur préféré.

Liza est donc assise sur son lit, je m’installe sur le lit d’en face. Liza avait demandé deux lits une place dans sa chambre plutôt qu’un grand lit car elle aime beaucoup recevoir ses copines. C’est la plus innocente de nous tous niveau sexe, et n’a pas encore pensé qu’un jour elle aimerait dormir avec un copain.

— Normalement, c’est la matriarcale qui fait ça, mais Liza a demandé que ce soit moi, et ta mère est d’accord. Mais j’ai également besoin de ton assentiment. Tu veux ...

... bien Max ?

— Oui, bien sûr

— Excellent. Merci d’être venu tout nu, au fait. Ça met tout de suite dans l’ambiance. Alors, que penses-tu de son pénis, Liza ?

— Il... est vraiment gros. Comment ça va rentrer ?...

— Ha ha ha, ne t’inquiète pas, ça rentrera. Viens t’asseoir ici, Max

Je viens m’assoir à côté de ma sœur, le sexe déjà bien dur rien qu’à l’idée que ma petite sœur le touche.

— Alors, que dois-tu faire d’abord, Liza ?

— Grand Frère, puis-je toucher ton pénis ?

— Oh oui !

Liza vient alors délicatement poser sa petite main sur mon membre tout dur, qui en tremble d’excitation.

— Tu sens cette énergie ?

— Errrfff

— Je vais prendre ça pour un oui. Ha ha ha ! Maintenant, agrippe-le fermement mais sans serrer trop, puis fais aller et venir ton poignet de haut en bas.

Sa main s’enroula dessus, elle le décalotte sans rien perdre du spectacle.

Elle oublie mon visage pour me focaliser sur mon engin.

Mon gland est gorgé, déjà luisant. Deux ou trois allers-retours ont suffi à le faire perler. Goutte translucide d’un premier plaisir qui en annonçait d’autres.

— Du liquide en sort. C’est ton sperme ?

— Non, mais continue comme ça, je vais pas tarder à éjaculer.

— D’accord.

J’avais envie qu’elle me lape, lipper mon premier jus. Je me contenais. Liza méritait une belle initiation.

Plutôt que de s’acharner, elle préfère la lenteur, admirative de la peau glissante. Ma bite grossit encore un peu dans ses doigts. Seul mon gland ...