Et le rêve devient réalité...
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
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Oral
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Auteur: Jeff 2, Source: Revebebe
En entrant dans la petite salle de restaurant, je ne l’avais pas remarquée, assise au milieu d’une petite troupe de collaborateurs qui parlaient fort et mélangeaient allègrement différentes langues. C’est que, ici, il faut être coutumier de ce mélange insolite en d’autres lieux, mais tellement commun dans cette ville interlope et cosmopolite qu’est Genève.
Absorbé par mon choix, le tintement de son rire me fit lever les yeux. Face à moi, le regard gris, la coiffure savamment lâche de boucles cendrées, le nez aquilin surmontant une bouche vermeille me faisaient très indiscrètement passer mon regard sur cette femme dont le naturel et la beauté de la maturité avaient failli m’échapper.
Les mains élégantes, ornées de peu de bagues et surtout pas d’alliance, la manucure parfaitement coordonnée avec le rouge à lèvres… Tout indiquait une quadra entourée de sa cour.
Ils avaient presque terminé leurs agapes et elle sirotait son expresso avec un savant mélange de volupté et en prenant son temps. Alors que chacun se levait pour aller payer son écot, elle resta attablée, face à moi et pour la première fois, notre regard se croisa. Elle m’a souri. Je l’ai saluée d’un vague hochement de tête. Et ses yeux continuaient de me sourire tandis qu’elle jouait avec le stick du sucre, mon regard s’appesantissait sur sa personne. Libre de toutes entraves, je pouvais enfin distinguer sa poitrine, du moins son buste et mon regard fuit rapidement vers le dessous de la table où elle croisait ...
... et décroisait ses jambes gainées de bas gris fumés.
Avez-vous remarqué que les femmes qui portent des bas, se débrouillent toujours pour le faire savoir à l’entourage mâle ?
Elle, elle portait des bas autofixants qui s’arrêtaient à mi-cuisse, laissant nu le haut d’une cuisse musclée et légèrement halée. Et sans me quitter des yeux, elle glissa un peu plus sur l’assise de sa chaise, faisant ainsi un peu remonter sa jupe et sans l’air de rien, écartait voluptueusement des cuisses afin que je puisse me régaler de son intimité à peine voilée par un triangle opalescent qui montrait plus qu’il ne cachait son sexe.
Le jeu n’avait duré que quelques millièmes de seconde avant qu’elle ne referme ses jambes, empoigne son sac et ne l’ouvre pour y farfouiller. Puis, se levant telle une chatte, d’une démarche très féminine et triomphante, elle déposa sur ma table un petit carton et passa à la caisse où ses collègues s’impatientaient d’elle.
À la lecture rapide de la carte, je suspendis mon souffle et mes gestes… mon regard l’accompagna jusqu’à la caisse et je continuai à détailler, sans honte, son dos droit, ses hanches juste évasées comme il faut, ses mollets galbés à la perfection. Avant de partir, elle me jeta un dernier regard malicieux et un sourire enjôleur. Le rêve à l’état pur.
En sortant, quelques longues minutes plus tard, je composai son numéro de téléphone et tombai sur sa messagerie. Malheureusement, ayant horreur de parler à des machines je raccrochai en me ...