Soumise à un Algérien (4) - Histoires de Sexe

Soumise à un Algérien (4)

Il y deux jours, Hervé m’a prise sur mon bureau, c’était la deuxième fois que nous avions une relation sexuelle, car ce n’est qu’une relation sexuelle, et il l’a bien compris, je lui ai fait comprendre que je ne souhaitais plus que ça se reproduise, et avec sa gentillesse perpétuelle, il a bien sûr accepté.

J’ai prévenu Hervé que je devais passer un week-end chez les Benaissa avec Marc, et que j’avais peur de cette rencontre. Il m’a avoué que Benaissa lui faisait également du chantage et qu’il souhaitait quitter l’entreprise et ce pays.

Il m’a poussé à tout raconter à Marc et à partir, mais je ne peux pas me permettre que Marc ait des problèmes.

Je quitte Hervé pour rentrer au Riad, la tête pleine de questions.

Maintenant, je n’ai plus qu’à espérer que je suis enceinte et expliquer à Marc le moment venu comment cela s’est produit.

Quinze jours plus tard, je suis au Riad, assise à travailler en terrasse, quand tout à coup, un mal de ventre me prend. Je ne sais pas si c’est le week-end chez les Benaissa qui arrive, mais cela me fait comme une boule.

— Marc !!! Marc !!!

— Qu’est-ce qu’il y a ma chérie ?

— J’ai mal dans le bas du ventre.

— Je vais appeler un médecin ??!!

— Oui, s’il te plaît mon chéri, et une femme si possible.

— Oui, OK.

Marc a consulté les médecins les plus proches en faisant attention que ce soit une femme.

Je l’entendais au téléphone :

— Oui... Mal au ventre... Amy Leroux... Oui Française... 35 ans... Très bien ...

... docteur, à toute à l’heure.

— C’est bon ma chérie, tu as rendez-vous en fin d’après-midi avec le docteur Labid.

— Très bien, merci.

L’heure arrivée, nous avons pris la route pour le cabinet du docteur Labid, j’avais moins mal au ventre, mais avec tout ce qu’il m’est arrivé depuis plusieurs semaines, une consultation ne serra pas du luxe.

Nous sommes entrés dans la salle d’attente, il y a un homme avant nous, dès que je rentre, il me reluque de bas en haut en marmonnant en arabe, je suis en jeans avec un haut à bretelle moulant et en sandales, mes cheveux blonds sont attachés avec une pince.

Pendant son attente, l’homme ne lâche pas ma paire de seins d’yeux. Voilà maintenant mon tour.

— Tu m’accompagnes Marc ? lui dis-je prestement.

— Oui, bien sûr.

Nous sommes accueillis par le docteur Labid.

— Entrez !!!

nous dit-elle sèchement.

C’est une femme d’environ cinquante ans assez dodue, avec une djellaba noire et un voile de même couleur, elle n’a pas l’air d’aimer les Occidentales.

Nous sommes assis face à elle devant son bureau.

— Madame Leroux, vous venez pour votre ventre, c’est ça ??

— Oui docteur.

— Ôtez vos chaussures et allez vous allonger sur la table d’examen.

— Très bien.

Je suis allongée sur la table d’examen, elle me rejoint tout en me demandant :

— Mon neveu souhaite faire médecine comme moi,

me dit-elle avec le sourire.

— Seriez-vous d’accord pour qu’il assiste à l’examen de Madame ?

Je regarde Marc tout en ...