1. Une pratique particulière


    Datte: 15/01/2020, Catégories: f, inconnu, fsoumise, nopéné, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... vous avez ouvert la boîte, il va falloir que vous assumiez !
    — Oh oh ! Quelle exigence !
    
    Il approche sa tête très près de la mienne :
    
    — Pourquoi je vous ai rencontrée, Annie ? Comment je vais faire pour revenir à ma petite vie bien tranquille ?
    — Dites-vous que c’était une parenthèse…
    — On n’est pas toujours obligé de refermer la parenthèse.
    — En mathématiques, c’est vivement conseillé !
    
    Il baisse un peu la tête, il soupire :
    
    — Vous êtes infernale !
    — Je sais ! Comme la plupart des femmes…
    — Moins que ma femme, nettement moins, je vous l’assure ! Si je m’écoutais, je ferais volontiers un échange entre elle et vous, même s’il faut vous partager avec la moitié de la ville !
    — Merci, Serge, mais vous dites ça dans l’enthousiasme…
    — Peut-être que oui, peut-être que non…
    
    Toujours accroupie et dégoulinante, je le regarde avec amusement comme si j’avais un grand gamin face à moi :
    
    — Halala ! Vous les hommes, dès qu’on vous offre un doigt, vous voulez tout le bras !
    — Non, non, Annie ! Moi, c’est vous toute entière que je veux !
    — C’est bien ce que je disais.
    
    Je tends la main pour caresser son visage, il s’approche un peu plus pour se laisser faire. Promenant mes ongles rouges sur sa joue, je continue :
    
    — Vous venez simplement de vivre une chose à laquelle vous n’êtes pas habitué, un peu de piment. Et excusez-moi de parler ainsi, mais les hommes adorent les salopes, les femmes qui sortent du train-train quotidien, des femmes avec lesquelles ils ...
    ... imaginent faire toutes les choses qu’ils ne peuvent pas ou qu’ils n’osent pas faire d’habitude…
    — Vous êtes psy ? C’est vrai, vous avez raison. Je préfère nettement une vie agitée avec une femme comme vous que ma vie actuelle qui est trop plan-plan.
    
    Cessant ma caresse sur sa joue, je me relève lentement, j’ouvre la première cabine, je m’essuie sous le regard très intéressé de Serge qui n’en perd pas une miette, comme s’il gravait ces images dans son cerveau. Je me contente de lui dire :
    
    — Vous n’en perdez pas une, n’est-ce pas ?
    — Je ne suis qu’un homme, rien qu’un homme…
    — Certains hommes sont gays…
    — Pas mon cas !
    — J’avais cru deviner…
    
    Toujours couverte par son regard, j’enlève bas et chaussures que je mets dans un plastique. Bien que je sois totalement nue à présent et que visiblement il y ait une grosse bosse dans son pantalon, il se contente que de me mater, bien qu’il meure d’envie d’avoir plus. Un bon point pour lui.
    
    Je m’habille sans hâte, l’attisant volontairement, car ça me plaît beaucoup d’agir ainsi. Une fois que tout est fini, je m’approche de lui pour lui souffler :
    
    — C’est fini…
    — Hélas… Hélas… puis-je formuler une petite requête ?
    — Dites toujours…
    
    Il se plante devant moi et m’annonce :
    
    — Je voudrais un petit baiser d’au revoir, pas d’adieu… sur les lèvres…
    — Ah bon ? En quel honneur, Serge ?
    — Parce que j’en ai franchement envie… surtout de vous…
    — Vous avez envie d’un baiser de moi ou plus simplement envie de moi ?
    — Les deux, ...
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