COLLECTION BLONDE. L’emmerdeur. (2/2)
Datte: 14/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... tu vas revenir toute bronzée tu auras pris de l’avance sur celui de cet été.
Il s’approche pour m’embrasser, il le fait en me posant un baiser sur le coin de mes lèvres.
Une fois de plus quelle conne au moment où il monte dans sa décapotable j’aurais dû légèrement tourner la tête.
Il me semble loin le temps où je le prenais pour un grand emmerdeur.
Il me semble bien présent après quelques secondes à me demander pourquoi il fait si chaud et si noir quand enlevant mon plaid, je m’aperçois que c’est un rêve que j’ai fait.
Un rêve est toujours l’émanation de la vérité et ma main sort de ma chatte du moins mes doigts.
J’avais commencé à me masturber.
Il me reste la douche et le jet à fond dirigé vers mon intimité alors que si j’avais été maligne ce serait la verge de Julien que j’aurais dans le vagin à cette heure.
Plaisir fugace, mais plaisir tout de même.
Il est 10 heures, comme l’a dit mon prétendant je suis en vacances, mes élèves aussi, les cahiers aux feux et les profs au milieu.
Le feu oui, mais au cul quand ma sonnette retentie.
Je passe un peignoir et je vais ouvrir.
- Madame s'est interflora, ce bouquet est pour vous.
- Attendez que je trouve mon porte-monnaie.
- Inutile, le monsieur qui a commandé ma donné un gros billet pour que je sonne à 10 heures précises.
Je suis troublée, transmission de pensée là encore, certes dans mon rêve je parle de 10 heures mais c’était un rêve.
Une centaine de roses rouges et une ...
... carte.
Je dépose les fleurs dans l’évier me demandant où je vais toutes les mettre.
Je regarde la carte.
« J’espère que tu étais réveillée quand le livreur a sonné.
Samedi, je te propose de t’emmener à Deauville dans le meilleur hôtel.
Si oui, accroche ton écharpe de la même couleur que ces roses à ton balcon.
Je serais en bas de chez toi à 10 heures samedi. »
Pour qui se prend-il, m’acheter avec des roses fût une centaine.
Je me recouche bien décider à refuser de me donner à celui qui est toujours pour moi un emmerdeur.
Mon seau à champagne et deux vases font l’affaire dès que la faim me tenaille.
Le lendemain on sonne.
Peignoir, merde, il est monté et viens récupérer le fruit de ses dépenses, cent roses ça doit coûter bonbon.
- 10 heures, c’est encore moi, deuxième bouquet et deuxième gros billet.
« Je suis déçu, cent roses tous les matins jusqu’à ce que tu attaches ton écharpe à ton balcon. »
Je tiens quatre jours jusqu’au vendredi.
À 10 heures, il m’ouvre la porte de sa voiture, direction Deauville.
Compagnon charmant, il sait qu’il va me baiser.
Quand je tourne la tête, moi aussi je sais que je vais me laisser baiser.
Mais, il y a un mais, certains détails me semblent bizarres sans pour autant que je puisse dire lesquels.
Juste un sentiment, j’ai un tarin, petit et mignon mais qui sait renifler et là il renifle.
- Montez mes bagages dans la chambre, nous allons aller manger.
- J’aurais aimé faire un brin de toilette, ...