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Claudia, ma meilleure amie devenue salope (5)
Datte: 14/01/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Ardiero, Source: Xstory
... vous...? — Non. Et oublie ce que t’as vu. — Mais... — Retourne-toi Anaïs, je vais te casser le cul, rétorqué-je d’un ton impérieux. Elle rebascule en mode coquine et se met en position. Je m’empare du lubrifiant et en mets un peu sur mon doigt. Je touche l’anus chaud de Anaïs et elle gémit au contact du produit froid. J’approche mon gland d’elle et me frotte légèrement contre son trou. Elle gémit et moi aussi. — Repasse-moi ma bouteille. Je lui donne et la laisse boire pendant que je caresse son gros cul cambré. Elle a la chair de poule. Je ne sais pas vraiment comment m’y prendre. Je crois que je m’attendais à rentrer comme dans du beurre. Est-ce que je dois lui mettre un doigt pour la préparer ? Alors que je pousse encore un peu contre son orifice, elle gémit et m’interrompt. — Attends... Arthur t’es sûr ? T’es quand même le meilleur ami de mon frère, il nous tuera s’il l’apprend, il te fait confiance. Je m’arrête et des images inondent mon esprit. Tous ces moments... Mehdi jouant avec moi à la console chez lui, Mehdi me défendant quand on me faisait chier au collège, Mehdi et ses conseils de drague à deux balles. Mehdi qui me fait confiance. Et Mehdi en train de baiser celle que j’aimais. Moi aussi j’avais confiance en lui. — Qu’il aille se faire enculer, réponds-je en entrant doucement dans le cul d’Anaïs qui gémit en tirant sur les draps. — OH... OH LALA DOUCEMENT ! AAHHH PUTAIN, crie-t-elle. — J’ai mis que le bout, ...
... calme-toi ! — AAHHH TU VAS ME DÉCHIRER ! HHHUUuuuummm... gémit-elle en tremblant. C’est la première fois de ma vie que je pénètre autre chose qu’une bouche et la sensation est terrible, son cul est brûlant, broyant ma queue d’une étreinte qui m’aspire à l’intérieur. De plus en plus profondément. Je gémis par à coup, au rythme des contractions de ses sphincters qui massent mon sexe. Une fois planté tout au fond de son gros cul, je ne bouge plus et profite de la sensation et de la vision de mon chibre planté jusqu’au deux tiers dans ses fesses. Anaïs pousse des cris, je n’arrive pas à déterminer si c’est du plaisir ou de la douleur. Mais elle a l’air de s’être adaptée. — Tu t’es déjà faite...? demandé-je. — Oui... aaahhh, mais jamais une... ouuff... aussi grosse. — Y en a eu beaucoup ? Elle se retourne pour me regarder et me fait un clin d’œil “qui sait ?” me dit-elle en commençant doucement à twerker contre moi. Je pousse un grognement et l’attrape par les hanches pour commencer un va-et-vient qui arrache de grands cris à cette coquine. — Plus fort ! Je veux te sentir... AAANNHHH, crie-t-elle. Je la laboure sauvagement, je suis comme rendu fou par l’excitation. C’est limite si je ne bave pas sur sa croupe rebondie. — Dis-moi des trucs ! demande-t-elle. — Ah... ah... comme quoi ? réponds-je interloqué. — Parle-moi... OOHHH... comme tout à l’heure ! Ah OOUIIII ! Je réfléchis un peu en continuant à la sodomiser puis je décide de faire sauter ma ...