Une Princesse en Esclavage
Datte: 13/01/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byKekolo56, Source: Literotica
... lumières.
La duchesse vit quelques voitures passer à faible vitesse. Des voitures exclusivement occupées par des hommes... Devant le bar, quelques femmes vêtues de façon particulièrement vulgaire se tenaient sous les réverbères.
Etant connue comme l'une des femmes les plus élégantes de la haute société du tout-Paris, la duchesse de Brissac était morte de honte dans les vêtements de pute qu'on lui avait fait enfiler. La sonnerie de son nouveau téléphone la fit sursauter.
- « Bon, Diane, maintenant on passe au business. Tu veux toujours revoir ta fille? »
- « Naturellement, espèce de salaud! » sanglota-elle.
- « Hé, va falloir être plus polie que ça, pétasse! », entendit-elle avec un bruit de claque et un cri de sa fille en arrière-plan. « Bon, il est 19h00... A 21h30, un de mes hommes va passer près de la cabane de chantier et tu lui remettras 1500 Euros. Après tu reverras ta fille. »
- « 1500 euros?! Mais je n'ai rien avec moi! Vous m'aviez dit de ne pas emporter le moindre centime! Comment voulez-vous que je vous paye?! » répondit-elle au désespoir.
- « Il va falloir faire preuve d'imagination, Diane. Remarque, vu comment tu es gaulée et avec tes nouvelles fringues, ça ne devrait pas être trop dur. Allez, au boulot! Tu perds du temps! »
En pleurs, Diane de Brissac, princesse de Bourbon-Brissac, commençait à comprendre ce que l'on attendait d'elle. Les ordures! Elle n'avait jamais couché qu'avec son mari durant toute sa vie, et maintenant... Elle, ...
... issue d'une des lignées les plus prestigieuses de la noblesse française devrait vendre son corps dans cette banlieue sinistre pour récupérer sa fille. Quelle humiliation!
Levant les yeux, Diane remarqua les regards haineux que lui lançaient les filles adossées aux réverbères. Instinctivement, elle referma son manteau de vison, seul restant de respectabilité qu'elle avait encore sur elle. Un crachat vint s'écraser sur la pointe de l'une de ses bottes. Elle n'avait pas remarqué qu'une BMW M3 venait de s'arrêter devant elle. Le chauffeur, un maghrébin d'environ 35 ans mal rasé et les yeux cachés par une paire de lunettes de soleil l'apostropha :
- « Hé, salope, tu fous quoi là? C'est mon territoire! »
- « Excusez-moi! Je ne suis ici que jusqu'à 21h30, après vous ne me reverrez jamais plus. » lui répondit-elle. Le sordide de la situation jouait avec ses nerfs.
- « J'en ai rien à foutre, connasse! Soit tu bosses pour moi, soit tu dégages! » hurla t'il en descendant de sa voiture.
- « D'accord, d'accord, je travaillerai pour vous! » Elle voulait à tout prix éloigner ce sale type qui suintait le vice et la vulgarité.
- « C'est 70% de tes gains. Pas négociable. »
- « C'est bon, 70%. Je vous paierai demain. »
L'homme, un sourire satisfait sur le visage, s'approcha de la duchesse et commença à la regarder comme une vache un jour de foire.
- « Allez, raconte, parle-moi de toi. Vends-toi! »
- « Je m'appelle Diane, j'ai 30ans (on les lui aurait donné sans ...