La « Lancenoir » 01
Datte: 13/01/2020,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... sentie comme fiévreuse et maintenant qu'elle était tout contre lui, elle brûlait d'envie qu'il lui roule un nouveau patin. Ce n'est pas comme s'il la dégoûtait, et qu'elle aurait à faire ça à contrecœur, ce n'était pas le genre de coup dont elle voulait se vanter auprès de ses amies... un noir... Elle n'avait jamais imaginé s'en taper un... mais maintenant qu'il était là, qu'elle avait goûté à ses lèvres, et que tout resterait secret...
— Alors t'es une grosse facho, ou on se...
— OK.
— C'est bon, t'es d'accord?
— Oui, quand ça?
— Quand ça? Ben tout de suite! Vu comme tu changes d'avis toutes les cinq minutes...
La serrant par les côtes, il l'amena dans le local à vélo. Bien qu'il n'y ait jamais de vélo dedans... c'était juste un repaire pour fumeur de joint, ou pire... Il y avait d'ailleurs deux amateurs de chichon quand Amadou entra :
« Je vous laisse dix secondes pour foutre le camp. »
Les deux camés ne finirent même pas leur fumette et partirent vite fait. Léa ne put qu'être admirative devant la persuasion radicale d'Amadou. Il lui suffisait d'ordonner pour qu'on lui obéisse. Elle se rendit compte qu'elle-même avait fini par lui obéir... Elle en éprouva du respect. Auparavant, elle ne le considérait que comme une bête sauvage, mais maintenant si elle le trouvait toujours bestial, c'était à un lion qu'il ressemblait. Amadou la tira sèchement par la main, la faisant pénétrer dans la pièce. Elle n'était encore jamais entrée dans le local, mais elle ...
... ne fut pas surprise qu'il pue la marijuana. L'endroit était plongé dans la pénombre, l'ampoule au plafond était cassée et la clarté ne provenait que de quelques briques manquantes dans le mur qui laissaient passer des rayons lumineux.
Arrivée au centre de la pièce, Amadou colla sa bouche contre la sienne. Il l'embrassa profondément. Ses mains passèrent sous son chemisier, et remontèrent vite jusqu'à son soutien-gorge. Les doigts d'Amadou la faisaient frissonner. Elle les sentit passer dans son dos, lui détacher l'attache du soutien-gorge en une fraction de seconde. Il commença alors à lui peloter les seins. Ses grosses mains agrippaient ses nichons, il les pressait, les manipulait comme un boucher soupèserait de la viande. Il finit par commenter :
« Pas mal, on ne dirait pas comme ça, mais tu ferais une bonne pouliche »
Il lui agrippa l'arrière de la tête et fis entrer sa langue dans ma bouche. Elle était contre lui, se sentant fébrile face à son corps musculeux. Il recommença à la peloter. Léa ne faisait rien pour l'en empêcher. Il continua à s'amuser avec ses nichons, mais finit par s'en lasser. Il passa alors une main sous sa jupe touchant sa culotte, Léa frémit d'impatience...
Elle sentit qu'elle devait agir, ne pas le laisser seul maître de la situation. Elle commença à lui enlever son tee-shirt. il la laissa faire. Elle tâta ses pectoraux, passant et repassant sa main dessus, impressionnée par leurs duretés.
Dans ce lieu mal éclairé si ce n'est par de fins ...