1. L'amour en forêt


    Datte: 25/03/2018, Catégories: fh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, 69, pénétratio, nature, Auteur: Bichon2, Source: Revebebe

    J’ai toujours aimé aller me promener en forêt pour l’ambiance qui y règne, le chant des oiseaux, les craquements du bois ou les brindilles qui se brisent à chaque pas, le contraste du paysage et la clarté filtrant entre les feuilles et les branches.
    
    Forêt de feuillus ou de conifères, cela m’indiffère, car il y a toujours le mystère de notre enfance… sorcière, méchant loup, obscurité précoce et sonorité relevant parfois du mystère.
    
    C’est donc tout naturellement que j’aime m’y rendre en galante compagnie, emprunter les sentiers damnés puis, suivant la tenue vestimentaire, bifurquer vers une clairière ou couper à travers bois puis inviter ma belle à se laisser aller dans cet univers où la magie de la nature fait le reste.
    
    La laisser ouvrir le passage pour observer ses fesses se dandiner, puis inverser les rôles et avoir le plaisir d’observer sa poitrine lorsqu’elle se baisse en évitant une branche un peu trop basse, la prendre doucement dans mes bras pour l’aider à se dégager d’une mauvaise passe et rapprocher nos corps « presque » involontairement.
    
    C’est de cette façon qu’une amie, Évelyne, m’a suivi pour une ballade qui a fini en une mémorable partie de plaisir en plein air. Elle était vêtue d’un bas de survêtement en coton vert bouteille et d’un body jaune d’or recouvert de sa veste de survêtement. Elle avait prévu un goûter avec de la boisson dans un sac de randonnée. La journée était splendide et nous avions tout l’après-midi de ce jeudi pour effectuer ...
    ... notre petite balade.
    
    Après une heure de marche, elle m’a demandé une pause tandis que nous passions devant un étang bordant une petite clairière ensoleillée. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir sortir de son sac un drap de bain qu’elle étendit sur un lit de mousse, ôter sa veste de jogging, prête à établir son camp de base. Après avoir discuté de tout et de rien, la conversation dévia sur nos relations et elle m’avoua se trouver sans compagnon, tout comme moi.
    
    Un long silence interrompu par le chant des oiseaux s’installa jusqu’à ce qu’un bruit sec nous surprenne et l’apeure. Elle eut pour réflexe de se coller contre moi, en me demandant de rester près d’elle. Il s’agissait sûrement d’un animal mais ce rapprochement de nos corps m’incita à observer ses yeux et doucement nos bouches se touchèrent, nos yeux se fermèrent et nos langues se rejoignirent pour un baiser tout en douceur. Je sentais ses mains sur mon épaule, le baiser devint passionné, mes mains caressèrent sa joue puis son épaule presque nue.
    
    Après avoir repris nos esprits, un regard agréable me fit comprendre qu’elle désirait recommencer, je l’enlaçai à nouveau en laissant mes mains vagabonder sur son corps. Ses petites fraises s’étaient érigées et tendaient son body devenu trop moulant pour mon regard, ce qui eut un effet immédiat sur mon anatomie. Évelyne ne put que constater la déformation de mon jogging, ce qui lui procura un sourire de satisfaction avant que sa main ne glisse vers mon sexe encore ...
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