1. ESPRIT DE FAMILLE


    Datte: 11/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Partouze / Groupe Lesbienne Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... aujourd’hui.
    
    « Ma pauvre Manon. Je suis confuse, j’aurais du vérifier que la porte était bien fermée. Ne soit pas fâchée après moi, je ne voulais pas te mettre dans l’embarras. Je vais aller lui parler et essayer d’arranger les choses. D’accord ? »
    
    « Je ne suis pas en colère après toi. J’assume ce qui vient de se passer, et je te remercie pour cette fantastique expérience. Mais je crois qu’il est préférable que se sois moi qui lui parle. Il vaut mieux que tu disparaisses pour ce soir. Je te téléphone demain. »
    
    «Comme tu veux. Ne pleure plus, tout cela n’est pas si grave, crois moi. »
    
    Elle me donne un dernier baiser et sort de la chambre. J’y reste encore un moment afin de retrouver mon calme et de sécher mes larmes.
    
    Je descends l’escalier, scrutant les visages qui s’amusent et qui rient. Mais, je ne le vois pas. Un ami me renseigne.
    
    « Ton frère ? Oui, je l’ai vu sortir dans le jardin. »
    
    Je l’aperçois par la fenêtre. Il est au bout du jardin, les mains dans les poches, tête baissée, appuyé contre la remise. Je prend mon courage à deux mains et vais le rejoindre.
    
    « Tu dois être très déçu de ma conduite. »
    
    « Moins que de la sienne. »
    
    « Pardonne moi Guillaume. J’ai été faible. Peut-être l’alcool. Il ne faut pas m’en vouloir. »
    
    « Ce n’est pas à toi que j’en veux, mais à elle. C’est une belle salope. »
    
    « Tu dis cela parce que tu est en colère .elle est très gentille. »
    
    « Elle n’avait pas le droit de faire ça ! »
    
    « J’ignorais qu’elle te ...
    ... plaisais autant !? »
    
    Il me regarde d’un air déconcerté et éclate de rire.
    
    « Quoi ? Qu’est ce que j’ai dis ? »
    
    « Ma pauvre Manon, tu n’as rien compris. Ha ! Ha ! Ha ! »
    
    Puis il s’en va, remontant vers la maison et la fête, en riant aux éclats. Je le ratt**** et me plante devant lui.
    
    « Bon ! Maintenant ça suffit. Explique moi ce qui te rend si euphorique ! »
    
    Son visage reprend un air sérieux.
    
    « Ce n’est pas de Valérie dont il s’agit. »
    
    « Désolée, Guillaume, je ne comprend toujours pas !? »
    
    « Valérie est ma maîtresse depuis déjà un bon bout de temps »
    
    « Quoi ? »
    
    Secouée par cette révélation, je dois précipitamment m’asseoir dans un fauteuil de jardin, pour ne pas tomber. Mais je ne comprends toujours pas.
    
    « Mais quand tu es entré dans la chambre, tu m’as dis que je n’avais pas le droit, qu’elle était pour toi ? »
    
    « Ce n’était pas à toi que je parlais. »
    
    Le disque dur de mon cerveau tourne en rond, cherche, et disjoncte. De grosses larmes remontent à mes yeux et c’est d’une voix chevrotante que lui demande de s’expliquer, une bonne fois pour toute.
    
    « Ca fait quatre ans que je te regarde grandir. Quatre ans que je te regarde prendre des formes. J’ai vu ta poitrine se développer, tes fesses se dessiner, tes reins se creuser. Quatre ans que je te désire comme un fou en secret, que je me masturbe le soir dans ma chambre, imaginant te serrer dans mes bras. Quatre ans, que je souffre quand je te vois avec d’autres types. Quand Valérie est ...
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