Le Dauphin
Datte: 11/01/2020,
Catégories:
fh,
vengeance,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
portrait,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... Le liquide commence, à sa grande confusion, à lui couler le long des cuisses. Une fois vidée et lavée, elle nettoie le sol, car quelques mouchetures jalonnent son chemin. Louis la conduit à son lit. Il l’y cajole abondamment, au vif plaisir de la demoiselle, puis lui demande de le sucer et de crémer son vit. Il l’invite ensuite à venir s’y empaler. La conquête de sa rondelle est beaucoup moins incommodante que la fois précédente. Tandis qu’il lui tringle le cul, elle pense que si cela continue de s’améliorer ainsi, elle n’éprouvera bientôt plus de gêne et pourrait même y trouver plaisir, comme certaines sensations qu’elle éprouve peuvent le laisser présager.
Le lendemain matin, elle s’éveille la première et prend l’initiative de réveiller le Prince de la plus agréable des manières : en le suçant. Point ne lui est nécessité d’ouvrer longuement, pour qu’elle puisse le chevauche l’accueillant, ayant le choix, par la voie commune. Il s’empare de ses seins, pour les dorloter, non sans parfois les pincer ou étirer.
Après ce fort plaisant intermède, il retourne aux affaires de l’État. Après son départ Elizabeth traîne au lit, heureuse du plaisir matinal pris.
Avant de se rendre à ses leçons, elle s’arrange pour pouvoir converser avec Ann pour l’avertir de ce qui l’attend probablement le soir.
Effectivement, Ann a droit au même traitement que sa compagne. Lors du lavement, elle préfère manifester, avant que cela ne devienne trop impérieux, son besoin de se soulager, ce ...
... qui lui évite le désagrément de fuites intempestives. Elle aussi trouve l’exercice moins fâcheux que la première fois.
Le soir tandis qu’Ann va prendre son service, les deux autres glaisanes échangent leurs impressions, surtout sur l’amélioration de la prise de leur cul lors de cette seconde expérimentation et le tabouret sur lequel elles ont sise en préparation. Elles trouvent l’idée de préparation fort pertinente. Elizabeth réfléchissant à haute voix :
— Il faut que je m’habitue.
— Que dis-tu ?
La jeune femme qui ne pensait qu’elle avait parlé, est surprise. Elle a un moment de flottement dû à une certaine gêne.
— Heu ! Que je m’habitue… hors des jours de service.
— Que veux-tu dire par là ?
— Hé bien qu’il devrait être aisé de trouver un objet qui servirait à s’accoutumer, comme celui qui est fixé au tabouret.
Victoria est surprise de l’idée :
— Tu veux te…
— Si je me fais la main…
— Le cul tu veux dire !
— Le cul, effectivement. Lorsque le Dauphin m’enculera, cela sera plus aisé. Je ne sais pour toi, mais après m’être assise plusieurs fois, cela chauffait moins et entrait plus commodément et lorsqu’il m’a mise cela n’avait point la même sensibilité que la première fois.
— Il est vrai. Je n’y avais point songé, mais ce n’est pas sot… Peut-être qu’un plantoir ferait l’affaire.
— Bonne idée. Il faudra en trouver de point trop pointus et avec diamètre convenable. Nous devrions en trouver dans les resserres des jardiniers.
— Pourquoi tarder. Allons-y ...