1. La noce


    Datte: 11/01/2020, Catégories: fh, jeunes, fête, revede, Masturbation massage, init, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... chœur.
    
    — Oh oui !
    — Chut ! Il ne faut pas déranger les amoureux là-dessous.
    
    Elle ne retire pas la main. Les doigts s’enroulent autour de la verge souple, c’est délicieux. Cela fait autant d’effet à Annie qu’à moi car elle soupire, gémit presque près de mon oreille. À nouveau je veux la serrer contre moi.
    
    — Non… s’il… s’il te plaît… Reste comme ça !
    
    C’est à cause de Jacques qu’elle ne veut pas. Ah ! S’il n’était pas là ! Comme pour me remercier de mon obéissance, la main s’active dans mon slip. C’est frustrant d’éprouver autant de plaisir sans pouvoir le rendre ! Je ne sais pas ce que fait mon beau-frère. Il doit se morfondre à côté de nous qui ne lui portons aucune attention. Je m’en fous, les amoureux sont seuls au monde dit-on, c’est bien vrai.
    
    La caresse fait autant d’effet à Annie qu’à moi. Elle gémit au rythme des mouvements de son poignet. Tout à coup, elle frotte son ventre contre ma cuisse de bas en haut tout en exhalant de profonds soupirs.
    
    — Qu’est-ce que tu as à bouger comme ça ?
    — Euh… J’ai des… fourmis… dans… les jambes, m’explique-t-elle dans un murmure entrecoupé de gémissements.
    
    Sa main serre ma queue aussi raide que tout à l’heure. Bien que je n’en aie aucune envie, par politesse, je lui propose de rejoindre la salle des fêtes.
    
    — No-non… Ça… Ça va pa…pa…passer, balbutie-t-elle.
    — Et si je fais… Ça… Ça va mieux ? demande mon beau-frère.
    
    Il doit lui masser les mollets, ce que je devrais faire si j’avais le courage de renoncer ...
    ... à la caresse. Mais pourquoi soupire-t-il lui aussi ? Cela l’embête tellement ?
    
    — Oh ! Oui ! le remercie Annie.
    
    Le plaisir monte dans ma verge. Je ferme les yeux. Je suis heureux, la fille que j’aime est à mes cotés et m’offre une merveilleuse preuve d’amour. L’explosion de jouissance m’arrache un fort gémissement, presque un cri. Dans mon délire, il me semble entendre Annie et Jacques accompagner mes soupirs.
    
    Nous restons un long moment immobiles. La lune revient, brisant l’obscurité totale. Annie retire la main de ma poche et se penche au-dessus de la balustrade.
    
    — On dirait qu’il n’y a plus personne.
    
    Tant mieux ! Quelle catastrophe si Jacques avait surpris sa femme ! Inconscient de son infortune, il se baisse et ramasse quelque chose de clair.
    
    — Veux… Voulez-vous me rendre ça ! s’exclame Annie.
    — Qu’est-ce qu’il a pris ?
    — Ma… euh… mon mouchoir !
    — Vous n’aurez qu’à venir la… euh… le chercher chez moi… pardon chez nous, puisque maintenant j’habite dans la même maison que Jean, réplique mon beau-frère.
    
    Qu’ont-ils tous les deux à mélanger les genres ? Annie, je comprends, elle est émue par la caresse qu’elle m’a prodiguée, mais Jacques ? Je ne dis rien car il a eu la bonne idée de l’inviter ! L’occasion unique à ne pas rater !
    
    — Jacques a raison. Il le fera nettoyer et te le rendra lorsque tu viendras me voir.
    — Tu… tu crois ?
    — Tu feras plaisir à tout le monde.
    — Oui, renchérit Jacques, à tout le monde…
    
    Le silence retombe. Je repense avec ...
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