La noce
Datte: 11/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
fête,
revede,
Masturbation
massage,
init,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... ?
— Ben, c’est à cause de toi que j’ai été invitée, pas vrai ?
Nous avons beaucoup dansé pendant la soirée. À un moment, ma sœur m’invite pendant que Jacques entraîne Annie. Sans me flatter, je suis un bon danseur et, avec Chloé, nous nous exerçons souvent ensemble. Nous prenons plaisir à exécuter des figures qui correspondent avec le rythme de la danse. L’assistance fait cercle et nous encourage. Je suis fier car Jacques n’est pas aussi doué que moi. Il se contente de serrer Annie contre lui et de balancer d’un pied sur l’autre.
Elle est toute rouge quand je la prends dans mes bras à la reprise suivante, sûrement la déception, son cavalier est vraiment trop malhabile.
— Excuse mon beau-frère, ce n’est pas un bon danseur.
— Oh ! Je l’ai trouvé très bien… C’est vrai, il ne danse pas aussi bien que toi, me confie-t-elle après une légère hésitation.
Elle se colle à moi. Ses seins appuient contre ma poitrine. Ma virilité qui se développe doit la gêner, mais je n’ai pas le courage de m’écarter. Annie, inconsciente de mon émoi, se presse encore plus. J’ai honte de profiter de son abandon, mais c’est tellement bon de la tenir dans les bras. Presque contre ma volonté, ma main caresse la taille, descend sur les fesses. Je sens sous les doigts l’ourlet du slip, du moins c’est ce que j’ai cru à ce moment là. Confus, je remonte le poignet. Ce n’est plus un sexe que j’ai entre les jambes, mais un véritable bout de bois. La musique ne cesse pas. Je n’y tiens plus. Il faut ...
... que je me soulage aux toilettes, sinon… sinon quoi ? J’ignore, je ne suis plus capable de réfléchir. Par un effort surhumain, je parviens à me détacher d’Annie.
— Oui, tu as raison, sortons, me souffle-t-elle.
Elle m’entraîne dans le parc. Il fait doux, l’air nous fait du bien après la chaleur étouffante de la salle. Ma copine m’emmène à l’écart dans un bosquet sombre. Elle veut me faire asseoir sur un banc. Ce n’est pas une bonne idée. Dans mon état d’excitation, je suis capable de gestes condamnables qui la choqueront. Je préfère m’accouder à la balustrade qui surplombe la deuxième partie du parc. Annie me rejoint en soupirant. Je sais, elle aurait préférer s’asseoir, mais c’est plus prudent, car dans l’obscurité complice, je ne réponds plus de rien.
Elle s’appuie contre moi. Je passe le bras autour de son cou. Ma main pend sur son épaule, je sens sur le bout des doigts le doux renflement de sa poitrine. Ah si j’osais ! Avec quel délice je caresserais ses seins ! J’ai bien trop peur de la faire fuir. Je suis si bien à ses cotés…
Annie mordille le lobe de mon oreille.
— Aah !
Je tourne la tête, ma bouche touche la sienne. Oh ! Un petit bout de langue frétille et s’insinue entre mes lèvres… C’est délicieux !… La mienne se précipite à la rencontre… les deux muscles entament un ballet voluptueux dans ma bouche puis dans la sienne. On ne m’avait jamais, je n’avais jamais embrassé de la sorte. C’est divin… Un véritable acte d’amour.
Une forme claire accompagnée ...