1. Autre chose piquante


    Datte: 11/01/2020, Catégories: fh, ff, fbi, asie, couple, copains, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral nopéné, Auteur: Audrey, Source: Revebebe

    ... En plus je ne le lui dis pas toujours : j’ai peur de le faire souffrir à chaque fois, et ça, je ne le supporterais pas. Je l’aime trop.
    — Il a donc tenu parole lorsqu’il disait qu’il te laisserait libre de poursuivre tes relations saphiques ?
    — Oui, pour autant je n’ai jamais fait venir mes conquêtes féminines ici, chez nous. La plupart du temps c’est chez elles qu’on va, ou s’il y a le risque d’un phallus, on va à l’hôtel. Tu es la première.
    — Tu voudrais qu’on l’invite dans nos jeux ?
    — Je ne sais pas…
    — Allez, ça peut être sympa. Et puis Patrice je le connais bien, même si je n’ai jamais baisé avec lui, ce que je regrette presque aujourd’hui. Tu peux bien me le prêter un peu, juste une fois…
    
    Marion se lève, ne prend pas la peine d’enfiler un quelconque vêtement et vient trouver Patrice dans le salon. Il regarde la télévision. Son regard quitte l’écran et se porte sur le corps nu et désirable.
    
    — Tu es toujours aussi belle…
    — Dommage qu’elle soit lesbienne, te dis-tu ?
    — J’ai toujours respecté tes choix. Tout comme j’accepte cette part de la sexualité d’Eiko.
    
    Elle s’assoit à côté de lui, le fait mettre debout, et contre toute attente descend le pantalon de jogging et le boxer d’un seul mouvement. La queue du jeune homme lui saute presque au visage.
    
    — Ça t’excite que ta copine nique avec une fille à côté ?
    — Peut-être encore plus lorsque c’est toi. Avec une inconnue, je crois que ça me ferait moins d’effet. Bon, tu as fini ? Je peux remballer la ...
    ... marchandise ? Va retrouver Eiko, ça vaut mieux.
    — Et si tu participais ?
    
    Elle ne le laisse pas répondre et l’entraîne vers la chambre en prenant sa queue en main. Il la suit docilement.
    
    * * *
    
    Lorsque Marion est repartie, Eiko fait l’amour avec Patrice de façon électrique ; elle veut qu’il la fasse jouir rapidement, sans attendre, et même l’attire pour qu’il vienne en elle, qu’il la secoue, qu’il masse les parois de son con avec son gland en oubliant tout préliminaire. Elle accompagne les va-et-vient puissants allant jusqu’au fond de son vagin mais ne parvient pas à atteindre l’extase lorsqu’il déverse son foutre dans son con. Elle n’a rien fait pour retenir sa jouissance.
    
    — Tu n’as pas joui… s’inquiète-t-il.
    — Ça n’a aucune importance. Après le show de cette petite vicieuse de Marion, explique-t-elle, j’avais besoin que tu me baises sans aucune précaution, comme une catin, comme une traînée. C’était la seule façon de me calmer. J’aurais dû te demander de m’enculer à sec, sans préparation ; là, j’aurais peut-être gueulé.
    — Qu’est-ce qui te dérange ? Tu aurais voulu que je refuse ? Je ne suis pas de marbre. Je pensais que tu étais d’accord ; c’était à toi de dire non.
    — Oh, ce n’est pas que tu l’aies baisée qui me fait réagir comme ça. Non, ce qui m’a fait chier, c’est que tu bandais comme un cerf pour cette salope. Tu as vu comment elle te regardait, avec un air aguicheur que je ne pourrais même pas imiter ? J’avais l’impression de voir une actrice de film X qui ...
«12...789...17»