Autre chose piquante - Histoires de Sexe

Autre chose piquante

... Patrice, Eiko vaque nue dans l’appartement ; parfois, elle le reste jusqu’au départ de son homme. Leurs jeux peuvent durer très longtemps grâce à leur maîtrise de l’injaculation ; ainsi, ils peuvent faire l’amour à tout moment, selon leurs envies. Et lorsque le lundi matin Patrice quitte le domicile pour aller prendre le TGV, il prend un taxi pour ne pas imposer à Eiko une séparation, qu’il sait douloureuse, en public. Nonobstant, il n’omet jamais de prodiguer à Eiko un délicieux cunnilingus qui produit en elle l’extase, puis il lui baise les lèvres, distillant dans sa bouche quelques gouttes de cyprine en disant :

— Rendors-toi, ma chérie.

Malgré le plaisir ressenti, Eiko ne peut s’empêcher de se masturber jusqu’à une nouvelle jouissance avant de sombrer une nouvelle fois dans les bras de Morphée.

* * *

Un jour, Patrice arrive soucieux et se livre à Eiko, ne pouvant garder pour lui ce qu’il voit comme une forfaiture :

— Je dois t’avouer, ma chérie, qu’à Avignon, près d’où je travaille, un collègue m’a invité à voir un spectacle de danse. Les danseuses évoluaient nues.
— Elles ont du cran, ces filles impudiques qui acceptent de jouer nues, que ce soit de la danse ou tout autre spectacle vivant. Ce n’est pas la même chose d’être sur une plage naturiste avec tous les gens nus. Là, tous les soirs il faut à la fois bien danser, jouer, chanter et être nu devant un public qui ne l’est pas.
— Il y a autre chose.
— Quoi ?
— J’ai baisé avec une de ces filles… ...

... Elle m’a entraîné, je n’ai pas pu…
— Tu n’as pas voulu, plutôt ! lui lance violemment Eiko. Remarque, cela ne m’étonne pas. Je m’y attendais : toi, seul, loin de moi, je savais que ta queue ne pourrait pas attendre sagement de me retrouver.
— Je suis désolé.

Contre toute attente, Eiko lui dit :

— Mon coco, il va falloir que tu te fasses pardonner en me faisant l’amour comme rarement.
— Tu veux que je te baise ?
— Non : que tu me fasses l’amour, que tu me fasses jouir intensément, et plusieurs fois de suite. Mais tu ne devras pas chercher à introduire ta queue en moi. Si tel est mon bon plaisir, je te sucerai, mais rien de plus. Je verrai ensuite si je peux te pardonner ou pas.

Ils se dirigent vers la chambre et se déshabillent l’un l’autre fébrilement. Patrice couche sa chérie sur le lit ; il la contemple un instant, la trouvant toujours aussi désirable.« Comment ai-je pu coucher avec cette fille, alors qu’elle n’arrive pas à la cheville d’Eiko ? » se demande-t-il.

Il s’emploie à lui caresser et lui baiser le corps en partant de la bouche, en passant par le cou, pour venir agacer ses seins dont les pointes se dressent fièrement. Elle a décidé de s’offrir totalement pour recevoir encore plus. Il descend le long de son ventre à la peau sucrée et mordorée, ses doigts se perdent dans les boucles de la toison pubienne.

La vulve est là, devant sa bouche. Un petit coup de langue suffit pour que les grandes lèvres s’ouvrent et laissent voir leurs petites sœurs déjà ...