L'été sera chaud (16)… - Histoires de Sexe

L'été sera chaud (16)…

... que cette fois, après que ses épaules et son dos aient été bien badigeonnés, elle sent que les mains de son fils ne s’arrêtent pas en arrivant sur les fesses. Il est vrai que Jusqu'à maintenant il y avait la frontière du maillot, mais là non. Mais il s’attaque aux jambes et elle souffle un peu. Ce répit n’est que de courte durée car les mains remontent sur les cuisses Jusqu'à la pliure des fesses et reprennent leur malaxage.

Elle trouve qu’il s’y attarde un peu trop et met en terme à l’opération:

- Merci mon chéri, ça ira comme ça.

- De rien Maman, à ton service. C’était un plaisir.

Elle tourne la tête vers lui et s’aperçoit qu’il est en pleine érection:

- Oui, je vois…

- Euh, excuse, mais c’est une réaction normale, non?

- Peut-être, mais c’est tout de même sur moi, ta mère, que tu fais ça.

- Oui, c’est vrai, mais je suis tellement heureux d’avoir une maman aussi sexy.

- Ah, tu me trouves sexy, maintenant?

- Tu l’as toujours été, mais j’ai jamais osé te le dire.

- Ah bon, eh bien je devrais me sentir flattée, je pense…

- Et en plus ça me fait plaisir de voir que tu as repris une activité sexuelle.

- Puisqu’on en est à ces confidences, oui, ça me manquait un peu.

- C’est sur que si depuis que tu es séparée tu ne fais plus rien…

- Euh, bon, mais ça reste entre nous, pas un mot à ton père , hein?

- Evidemment, tu le connais: il comprendrait pas, borné comme il est.

La discussion a un peu fait redescendre la bite de son fils, ...

... ce qui la rassure.

Le soir, le temps étant un peu plus nuageux que depuis le début du séjour, nous décidons de rentrer pour manger. Nous nous retrouvons donc au salon pour l’apéro que nous prenions d’habitude à l’extérieur. Cette fois, Ju prend la place d’honneur entre Lola et moi sur le canapé pendant que Thomas et sa mère héritent des deux fauteuils. L’atmosphère est lourde à cause de l’orage qui menace et nous nous sentons tous moites. Pour compenser, l’apéro coule à flot et l’ambiance devient de plus en plus décontractée.

Ju lance le bal avec une main dans la fourche de sa fille et l’autre dans la mienne et nous le lui rendons bien en nous y mettant à deux pour lui faire dresser la colonne. C’est le moment que choisit l’orage pour se déclarer. Un bel éclair illumine l’extérieur subi d’un bon coup de tonnerre qui déchire le silence. Hélène sursaute, ce qui incite les autres à se moquer un peu d’elle. Thomas en profite:

- Tu as peur Maman? Tu veux que je te tienne compagnie?

Et sans attendre sa réponse, il vient s’assoir en travers sur ses genoux, un bras autour de son cou, comme quand il était plus petit. Elle n’ose pas le chasser car en fait elle aime bien les souvenirs de cette époque de sa vie. La seule différence, c’est que le petit garçon a grandi et que là, il est en érection. De plus, dans sa position, et vu que sa bite tire un peu à droite, le gland est en contact avec le ventre de sa mère qui ne sait pas comment le lui dire. Mais elle n’a pas le temps ...