1. La gérante de la galerie d'art (10)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... viens d’acheter : un petit boitier électronique (de la taille d’un I-Pad) avec de multiples connexions, je colle une électrode sur chacune de ses larges tétines brunes, et une sur chacune de ses petites lèvres.
    
    Le boîtier en main je me poste devant elle :
    
    « - Eh bien maintenant, ma chérie, nous allons jouer ! »
    
    ° ° °
    
    Je crache tant bien que mal ce sperme poisseux qu’il a vidé dans ma bouche. Souillée comme une salope mais après tout, à quoi m’attendais-je ?
    
    Je reprends mon souffle et il m’apporte gentiment un verre d’eau. Je ne vois pas ce qu’il trame mais il me présente un gode monstrueux en longueur. Je balbutie que cela ne pourra pas rentrer, c’est trop gros…
    
    Mais c’est pire que ce à quoi je pensais. Il ne l’introduit pas dans ma chatte pourtant humide mais dans mon petit trou tabou.
    
    Je grogne qu’il ne peut pas, que ça brûle, que ça me déchire mais le lubrifiant aidant le gode passe la rondelle et plonge dans mon cul.
    
    « Hhhhiiiiiiii ggggnnniiiii oooooohhhhhh mon dieu ahhhhhhiiii ooouuuuu c’est gros !!! »
    
    Je tremble et me révulse. Les bouts de mes bottes éraflent le sol mais je ne peux échapper à cette pénétration
    
    Lorsque je me calme enfin parce qu’il cesse de me bourrer avec ce gourdin, je le vois amener des électrodes. Je commence à le supplier de ne pas me faire mal :
    
    « Je ferai ce que tu veux, mais ne me tourmente pas ainsi. »
    
    ° ° °
    
    Je colle aussi un patch sur le gros gode, celui-ci est fait pour envoyer des vibrations.
    
    Je ...
    ... mets un programme en marche : des petites décharges comme des picotements sont envoyés de façon non synchrone à ses tétines et à ses petites lèvres. En même temps des vibrations de basse fréquence mettent en branle le gode, ébranlant tout son fondement, l’utérus, la zone G, et jusqu’au fond de son bas-ventre.
    
    Elle se met à gémir de plus en plus fort, les décharges brèves stimulent ses muqueuses intimes, son bourgeon, tandis que je commence à faire aller et venir le gode de silicone dans son rectum bien lubrifié.
    
    La chienne se met à rapidement à jouir. Son gros cul m’excite, je lui assène des claques mesurées sur ses fesses épanouies, les rosissant petit à petit.
    
    Je lui attrape les tétons, les pinçote, les étire, les titille, les travaille ; la peau grenue des mamelons – ses belles médailles brunes - se hérisse, le courant électrique envoyé en pincements saccadés fait son effet.
    
    Elle n’en finit pas de décharger, elle supplie, elle exulte, elle demande grâce. Le gode lui fourbit le cul, ah elle aime ça la chienne ! Une salope en bottes et bas avec un gros gode planté dans le cul et les mamelles à l’air, et un loup vénitien sur les yeux, comme à un carnaval, quelle vision excitante !
    
    Je mitraille de clichés pour le fun et pour immortaliser ce souvenir, des photos précieuses pour mon album.
    
    Quand elle n’en peut plus, que ses jambes flageolent et qu’elle est sur le point de s’effondrer, toujours retenue par le collier comme une chèvre, je me mets à lui claquer les ...