1. Comment j'ai abandonné le romantisme (3)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Lukecarneby, Source: Xstory

    ... titille le clitoris, écarte un peu ses lèvres et les caresse de haut en bas, tandis que mes deux mains s’occupent chacun d’un de ses seins.
    
    — Ahhhh... mon Dieu... C’est... c’est génial... on dirait que vous êtes plu... plusieurs... ouiiiiii !
    
    Je poursuis mon manège pendant quelques minutes, puis ma main droite délaisse son sein gauche, ce qui fait immédiatement réagir Jessica :
    
    — Non... continue, dit-elle dans un très léger souffle.
    
    Elle ne s’attendait sans doute pas que j’enfonce alors un doigt dans sa vulve, la pénétrant finalement...
    
    — Ahhh..... oui ! Vas-y ! Tout en hochant la tête de haut en bas.
    
    Mes mouvements sont saccadés, et rapides, mes va-et-vient digitaux accompagnent le patinage de ma langue tandis que ma main gauche continue de s’affairer sur sa poitrine, alternant entre la chair et le téton de l’un et l’autre sein.
    
    Jessica ne crie plus... submergée par le plaisir, elle ne peut plus que souffler, son extase est proche.
    
    Les sons qu’elle émet deviennent des râles, ses membres tressaillent sous les effets de mes caresses et de ma langue qui se font plus rapides...
    
    Car il faut bien reconnaître que je commence à me fatiguer, et je veux la prendre.
    
    Mais avant, je veux qu’elle jouisse, fort, comme elle n’a jamais joui.
    
    Alors, avec l’énergie du coureur de fond fourbu dans son dernier kilomètre, je redouble ...
    ... d’efforts, ma main se fait plus fort, mon doigt va plus vite, et ma langue s’enfonce plus profondément.
    
    Les mouvements de nos corps sont pris d’une inarrêtable frénésie : plus je bouge, plus elle ondule.
    
    Sa voix retrouve toute sa force, car ses râles redeviennent des cris :
    
    — Oh oui ! Oh oui ! Comme ça, putain ! Je viens, je viens, je viens !
    
    A mon grand étonnement, sa vulgarité m’excite, et m’encourage.
    
    — Oui ! Oui ! Oui !
    
    Hurle-t-elle
    
    Il faut qu’elle jouisse, je n’en pourrais bientôt plus.
    
    — Ca y est, je vais jouir ! Je vais jouir !
    
    C’est alors que son corps se tend à une vitesse telle qu’elle projette des perles de transpiration sur le sol et les meubles alentour.
    
    — AHHHHHHHHHHH ! OHHHHHHHHHH !
    
    Son agonie dure de longues secondes, peut-être une minute, qui sait, je suis moi aussi devenu fou, vaincu par l’effort.
    
    Je m’effondre en même temps qu’elle sur le canapé, lourd, ruisselant.
    
    Elle reprend sa respiration doucement, moi aussi. Ma mâchoire me fait mal, mes mains sont trempées de sueur pour l’une et de cyprine pour l’autre, mais si je n’ai pas retrouvé totalement mes esprits, je suis satisfait de mon tour de force.
    
    Elle lève péniblement la tête, haletante, essoufflée, me regarde, me sourit, puis la repose, elle ferme les yeux; vaincue...
    
    Elle est belle.
    
    — Dans le tiroir derrière toi, il y a des capotes. 
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