1. Et je devins adulte (5)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: papamambo, Source: Xstory

    ... son vagin déjà très humide tant elle mouillait d’envie de sexe.
    
    Brutalement, elle s’arracha à moi, se mit à genoux les coudes sur le canapé :
    
    — Prends-moi par derrière, mais dans la chatte, le reste on verra plus tard.
    
    Une seconde, qui me sembla une éternité, se passa, car son regard sombre et son langage très cru me surpris, mais l’excitation de voir sa croupe offerte de manière si impudique me fit balayer toute éducation. Je me mis à genoux derrière elle, guidais ma queue sur son vagin glissant, la saisis par les hanches et la pénétrais d’un coup si brutal que je touchais le fond. Elle hurla ; je compris qu’elle orgasmait déjà tant son excitation était forte...
    
    Je me mis à la prendre, et encore, et encore, entrant et ressortant et entrant à nouveau dans ce couloir d’amour par lequel j’étais arrivé au monde : je découvrais le symbole si fort et si culpabilisant pour certains, que peut-être l’inceste. Je prenais conscience que je n’avais aucun remords, mais que du respect et de l’amour indéfectible pour cette femme, ma chère maman à qui je faisais l’amour.
    
    Cette Indienne "pur sang" qu’était ma mère, descendante reconnue d’un grand chef rebelle, jouissait et hurlait de plaisir.
    
    Je savais que moi le "sang-mêlé", j’étais de sa race et que ce lien invisible qui nous reliait à notre terre baignée du sang de nos ancêtres venait de devenir encore plus fort et immortel de par cette relation intime.
    
    Jamais plus ma vie ne serait pareille "qu’avant" nous ...
    ... étions des amants liés pour la vie.
    
    Quelle qu’en soit la durée de mon existence, toutes mes autres futures femmes, ne seraient jamais "Elle" : ma superbe Indienne.
    
    Tandis que je lui donnais du plaisir, je comprenais que mon père ne serait jamais un rival pour moi... jamais mon père ne l’avait fait hurler comme elle hurlait sous mes coups de reins. Il fut un homme, parfait à mon égard, et je lui en suis reconnaissant, mais avec elle, il ne fut jamais "son mâle" comme je l’étais à cet instant.
    
    Cette nuit-là, je l’ai "prise" cinq fois, alternant des moments de force pure et d’autres moments de douceur et d’affection. Je découvris le potentiel de puissance sexuel qui était en moi et que n’avaient pas révélé mes cinq petites aventures passées avec des gamines de mon âge – je n’inclus pas Suzie et Charlène bien sûr.
    
    Ma mère se révéla la parfaite incarnation de ce que, selon mon cœur, devait être une femme, un complément indispensable fort et puissant chargé d’amour et de générosité sans qui un homme n’est jamais achevé psychologiquement...
    
    La suite de ma vie sera imprégnée à jamais de l’éducation qu’elle m’aura donnée et mes études et ma vie professionnelle en seront marquées pour toujours. Aujourd’hui à 65 ans, je sais que son esprit m’a rejoint après sa disparition et qu’il est toujours vivant en moi ; mes origines sioux y sont sans doute pour quelque chose...
    
    Cet état fusionnel fit de moi un homme qui devint responsable et quitta l’adolescence du jour au ...