1. Aline & Alex : La soubrette (5)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: caribonex, Source: Xstory

    Après nos jeux sexuels, nous nous sommes tous endormis brisés de fatigue et ce matin, moi Aline, je reprends mon récit.
    
    Vautrés tous les trois les uns contre les autres dans notre grand lit, c’est le soleil qui nous tire du sommeil. Hier soir, vaincus par la fatigue due à nos orgasmes et une longue journée, nous avons laissé Charlotte dormir avec nous.
    
    Je me rends à la salle de bains et après un moment prends une douche revigorante grâce aux différents jets massants et pulsants qui équipent la pièce. Axel vient me rejoindre au bout d’un moment et après avoir savouré le jet " pluie de printemps " revient vers moi pour un long câlin tendre.
    
    C’est ensuite Charlotte qui, attirée par le bruit que nous faisons, vient goûter aux jets et à nos baisers. Heureusement la douche est largement dimensionnée et nous en profitons pour nous taquiner et user des jets réglables pour démarrer en douceur notre excitation. Je goûte ce rôle d’initiatrice dont nous avons parlé avec mon mari avant qu’elle n’arrive et je n’ai pas de jalousie à le voir l’embrasser et lui non plus quand je lui roule un patin lesbien. Nous sommes bien, détendus et après nous être séchés allons prendre un petit-déjeuner fruité et énergétique.
    
    Évidemment, nous restons nus tous les trois, la discussion est informelle, anodine et pourtant l’excitation est là, sous-jacente, car nous savons bien ce qui va se passer dans les prochaines heures. La collation matinale prise, nous rangeons, toujours nus et ce ...
    ... naturel, galvanise encore mes envies.
    
    Voir le corps fin et musclé d’Axel, la poitrine petite mais si tentante de Charlotte, le sexe un peu tendu de mon chéri et la fine bande de poils de la toison de la jeune femme... C’est l’atmosphère qui change tout, nous ne sommes pas sur une plage naturiste avec un esprit détendu, non, ce sont ces petits frôlements l’air de rien, ces mains en appui comme si on allait tomber (à part en pâmoison !) et qui se positionnent juste là où c’est doux, chaud et sujet à tension...
    
    Une fois tout rangé, c’est un fou rire partagé, et c’est une espèce de masse de corps qui se dirige en titubant vers notre chambre. Entre baisers, caresses plus appuyées, nous mettons un certain temps pour arriver sur le lit. J’embrasse goulûment mon mari pendant que Charlotte nous entoure de ses bras, telle une sangsue qui trouve son plaisir dans le nôtre. Puis Axel me pousse dans ses bras et nous fait nous embrasser. C’est volontiers que je me soumets à ses desiderata et que j’entame un ballet de langue avec notre soubrette. Ses petits seins pressés contre les miens, les mains d’Axel qui parcourent nos deux corps, c’est diablement excitant.
    
    Enfin, nous repoussons Charlotte et, chose promise, chose due, nous la préparons à une nouvelle découverte. Tous les deux, nous l’embrassons, mordillons ses seins, parcourons ses cuisses de nos baisers, avant d’échanger les côtés et de partager parfois des saveurs. Elle est allongée sur le dos, savourant nos léchouilles, l’œil ...
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