1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1063)


    Datte: 24/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... attaqua, comme pour me défier :
    
    - Mais connaissez-vous vraiment notre Maison, Mademoiselle ?
    
    - Parfaitement Monsieur, j’ai commencé ma carrière de mannequin en vos murs avant que vous ne m’invitiez assidument en votre bureau pour me baiser (des ohhhhh scandalisés fusèrent dans la pièce) ce qui me déplut au point de vous quitter. Ensuite je m’inscrivis en une agence qui m’a faite défiler pour des collections dont les vôtres, celle de la Maison Dior, en effet…et bien d’autres encore…mais cela vous, le savez, Monsieur le Président !
    
    Le Président ne savait plus où se mettre, tentant maladroitement de reprendre la main.
    
    Monsieur le Marquis semblait se régaler du début de la joute oratoire, prouvant à tout l’auditoire, mes qualités de Femelle Pur-Sang, fougueuse…
    
    - Ah oui, je crois me souvenir de vous, dit le PDG, de cette petite oie qui (éclatant de rire grassement) se mit en mesure de séduire son Président, Ah ah ah... ! Elles ne doutent de rien les gamines de nos jours, on leur donne du travail et regardez comment elles vous remercient, dans quel monde vivons-nous, mon dieu !
    
    Les autres Invités masculins faisaient bloc derrière lui. Le silence refit surface, et le Noble semblait jouir de ma réparti, je le voyais dans ses yeux, comme pour me dire :
    
    - Vas-y ma petite chienne, vas-y cloue lui le bec à ce charognard...
    
    Je me suis levée, ai fixé longuement dans les yeux le dit PDG, qui continuait de soutenir mon regard, tandis que par mes mouvements mes seins ...
    ... bougeaient en même temps.
    
    - Monsieur le Directeur Général, vous me connaissez puisque vous m’avez vue entièrement nue !
    
    - Quelle affirmation ! Quelle nouvelle étonnante en effet ! Des mannequins, Mademoiselle, j’en vois des centaines en effet par jour, et c’est tout ce que vous avez trouvé pour oser m’attaquer, ici, ce soir, en compagnie de mes amis, en présence de mon épouse bien aimée, pour semble-t-il me mettre en difficulté, il vous faudra trouver autre chose, mademoiselle la chienne. (Il riait grassement et le reste de l’auditoire le suivait encore) S’adressant au Maître :
    
    - Et vous Monsieur le Marquis, je suis étonné que vous laissiez votre chienne m’interpeler comme elle le fait ! La laisserez-vous, cette catin, poursuivre ses ragots ... ?
    
    Je restais de marbre savourant à l’avance ma vengeance. Le Noble avait son sourire si particulier, sourire de carnassier dans une prestance enveloppant son fort charisme naturel et son sourire dont les crocs acérés allaient se repaître de sa proie… Le Châtelain semblait avoir compris ce qui allait se passer et ostensiblement passait sa main sur mon fessier, le caressant de façon très douce comme pour m’encourager. Avant que je ne reprenne la parole, Monsieur le Marquis dit au PDG avec une impressionnante assurance :
    
    - Méfiez-vous de ce que peuvent dire ces petites grues effrontées. En effet, parfois, leurs calomnies, quoique mensongères naturellement, peuvent laisser des traces, croyez-moi. Mais je sais que vous allez ...